Cap ou pas cap ( ELISABETH )

Après la bataille à coup de crème glacé à la marina c'était à moi de choisir le prochain lieu de rendez vous un lieu qui pourrait êtrre à la fois différant d'avant mais qui pourrait devenir vraiment culte. Je la regardait avec un sourrire avant de me lever dirrection le parking. Elle me suivit sans faire de bruit avec le sourrire, ça faisait du bien de savoir qu'on pouvait redevenir ami cela facilité tellement de choses avec Jake, nos amis et surtout pour nous. Je montais du côté conducteur puis mit le contact dès qu'elle s'installa du côté passagé. Je me dirigeais alors vers le centre ville cherchant unlieu dans ma tête le Starbuck? Non il y avait trop de personne du bahut et je suis certain que ça jaserait à propos d'Elizabeth et moi. Alors au casino? C'est un peu trop tôt vous ne pensez pas alors j'eus l'idée du centre commercial qui me traversa l'esprit j'avais des courses à faire ce qui tombait très bien. Je tournais alors à droite à la prochaine intersection pour ensuite aller vers le parking souterrain. Après m'être garé assez facilement entre deux voiture je sais je frime un peu mais bon nous descendîmes alors de la voiture. Je tournais alors ma tête vers Eli qui n'avait pas du tout parlé dans la voiture préférant de loin écouter les musique qui passaient à la radio.

Je sais que tu detestes le shopping mais j'ai des courses à faire car il n'y a plus rien dans le frigo. Puis je n'ai plus rien à me mettre alors profitons de cette occasion pour bien s'amuser.

Nous avançâmes alors vers les magazins et à la différance des autres de mes amies filles, Eli ne sautait pas vers toute les vitrines qu'elle appercevait. Je pouvais constater que les personnes nous regardaient étrangement ce qui me faisait sourrire même si je devait être ridicule. J'entrais alors dans un magazin de vêtements pour homme afin de voir les vêtements. Puis je vis une chemise qui était carrément le comble de l'horreur et du crime vestimentaire ce qui me fit exploser de rire. Je fis signe à Elisabeth de voir cette horreur.

Non mais franchement il crée de tout et n'importe quoi et tu as vu le prix 50$ c'est pas moi qui acheterais ce truc.

Je lui fis un sourrire qui devinais bien mon idée je sais je suis un vrai enfant mais la phrase que je vais dire va sortir sans que je puisse me contrôler.

Je te pari que tu n'es pas cap d'acheter cette horreur, de l'enfiler et de la garder tout au long de la promenade. Bien que si tu le fait je te rembourse le prix de ce truc.

Mon côté gamin avait refait surface après ce qui s'était passé à la marina je dirais c'est réveillé après une petite sieste de quelques minutes. Je regardais la brunette en étant certain qu'elle ne le ferait pas elle n'était pas aussi folle que je le pensais alors elle s'était fait mal au crâne tout à l'heure après sa chute. Et vu ce qu'elle allait me dire il me semble qu'elle s'était fait très mal au crêne tout à l'heure et que c'est vers l'hôpital que j'aurais du partir.

Elisabeth suivit docilement Henri jusqu'a sa voiture le sourire aux lèvres. C'était plaisant de passer du temps avec Henri sans que cela vire au drame, comme elle l'avait imaginé dans plusieurs des scénarios qu'elle s'était fait. Eli n'a jamais vraiment su pourquoi, mais elle avait des tendances a s'imaginer un tas de truc lorsqu'elle tombait dans la lune durant des cours ennuyeux ou simplement lorsqu'elle n'était pas intéressé par se que les autres lui disaient. Jamais elle n'avait pu imaginer que tout redeviendrait comme avant tout simplement. Comme avant elle voulait dire, avant-avant, pas comme avant, mais comme avant le avant. Mais bon. Tout le monde avait compris de toute facon. Elle s'assoya côté passager et alluma la radio. Il avait toujours les mêmes gouts pour les stations de radios, une chance, parce qu'elle avait exactement les mêmes.

Elle regarda le paysage qui fillait a toute allure en profitant de la chanson qui jouait. Murmurant toutes les paroles, parce que bien entendu cette station faisait toujours jouer les chansons qu'elle connaissait. Puis elle souria et fit une petite mimique lorsqu'Henri se garra entre les deux voitures. * Ah les hommes et leurs voitures* ria-t-elle intérieurement.

_Alors va pour le shopping. De toute facon, j'ai dépassé la limite permis au femmes de rester éloigné d'un centre commercial, alors si je veux rester dans la norme, dit-elle en riant.

Ils entrèrent ensemble et Elisabeth se demanda si Henri avait remarquer les regards que les autres leur jetaient. C'était plutôt amusant, mais surtout étrange et cela commencait a la rendre légèrement malalaise. Ils entrèrent finalement dans une boutique pour homme et Henri lui fit signe de venir voir une chemise, chose qu'elle fit, car de toute facon, elle n'avait pas grand chose a regarder pour elle ici. Elle fit une moue de dégout lorsqu'elle vit se monstrueux bout de tissu. Puis, il lui souria, se sourire qu'Elisabeth connaissait par coeur. Il avait une idée dérrière la tête. Bien entendu, elle avait vu juste. Voulait-il vraiment que quelqu'un le voit trainant avec une fille vêtu de la sorte, car il s'avait très bien qu'Eli était trop orgueilleuse pour refuser un defi de la sorte. Elle lui souria a son tour. Prit la chemise avec son support et se dirigea vers la caisse.

Elle paya et empêchant la vendeuse de le mettre dans un sac, elle retira la chemise du support et l'enfila par dessu son t-shirt. Elle alla rejoindre Henri et pivota sur elle même pour lui montrer l'effet que la chemise donnait sur elle.

_Alors, c'est la classe non? dit-elle en riant. Maintenant, on va dans une vraie boutique, avec de vrais vêtements.

Elle passa son bras autour de celui d'Henri comme elle faisait habituellement lorsqu'il se promenait. Ils firent environs trois pas lorsqu'elle se rendit compte de se qu'elle venait de faire. Elle se degea alors lentement supposant qu'Henri n'avait pas réagis simplement parce qu'il était mal alaise. Les vieilles habitudes persistaient on aurait dit. Elle lui souria, plus timidement qu'elle l'aurait voulu, pour détendre l'atmosphère qui n'était pourtant pas étrange. Alors qu'ils étaient pour entrée dans le magasin, elle se retourna rapidement et lâcha un petit;

_non, non, je ne rentre pas ici, dit-elle en regardant ailleur. Devant l'incrudilité d'Henri, elle rajouta, je connais la jeune fille la-bas, elle est en chant avec moi et je n'ai pas vraiment envie qu'elle me voit..comme ca, dit-elle en pointant l'horrible chemise.

C'était déjà plutôt simpa de sa part d'accepter de faire un peu de shopping avec moi surtout qu'elle n'avait jamais été fan de ce genre d'activité. Je descendis alors de la voiture afin de la rejoindre en vérifiant si ma voiture était aussi bien garrée que je le pensais ce qui était le cas. Oui je sais les hommes et leurs voitures mais les femmes alors avec leurs vêtements sont pires que n'importe lequel d'entre nous. Les regards que les gens nous jettaient étaient typique de la philosophie du coin c'est à dire il faut rester dans la norme si tu ne veux pas être rejetté. Ce qui est bizarre c'est que je ne suis ni l'un ni l'autre mais bon les gens c'est les gens et ce n'est et ne sera jamais leurs avis qui m'importeront. Avant de rentrer dans le premier magasin sans qu'Eli me remarque je leur fis un clin d'oeil qui voulait dire essayer vous verrez que c'est marrant.

Puis vint le moment où je lui proposait alors ce stupide pari j'espère que j'avais assez de monnaie sur moi pour pouvoir la rembourser parce que ni une ni deux elle enfila cette horreur de la mode après l'avoir payée. Elle avait toujours ce côté orgueilleuse qui aimait réaliser les plus grand défi juste parce qu'on l'avait provoqué. Encore un de nos nombreux points communs c'est peut être pour cela que nous aimions tant lancer et réaliser les plus grand défis pour voir les limites de nos action et de notre immagination. En sortant du magasin je me mis alors à éclater de rire tout en cherchant les billets dans mon portefeuille avant de lui tendre après avoir entendu sa phrase.

Franchement au risque de te vexer ces couleurs ne mettent pas du tout ton tein en valeur. Tiens tu les as bien mérités ces 50$. D'accord pour la vrai boutique avec de vrai vêtements pourquoi pas celle ci?

Puis nous avançâmes alors vers le magasin en question lorsque je remarquai son bras autour du mien comme elle le faisait avant. Je ne disais rien car je ne savais pas comment réagir j'étais étonné certes mais puisque maintenant tout était clair et que je ne ressentais plus rien pour elle alors je la laissais faire. Génée de ce qu'elle venait de faire elle retira immédiatement son bras mais c'est surtout son sourrire aussi maladroit que devait être l'action qui me fit réagir.

Tu sais ça sert à rien d'être génée puisque maintenant nous sommes amis et que tout est clair ça me dérrange absolument pas ce que tu as fait donc il est inutile que tu sois génée d'accord. Bon ben on peut y aller maintenant.

On était presque dans le magasin qu'elle me retint par le bras en me disant qu'elle ne voulait pas y aller comme cela car elle connaissait une des vendeuses elle aussi élève en cours de chant. Au bout de quelques seconde je reconnus la fille dont elle parlait une fausse rousse aux cheuveux long et frisée vêtue assez correctement il fallait dire qu'elle bossait alors c'était normal. Cette fille était une véritable peste comère et affreuse hypocrite qui en plus était tombée sous mon charme.

Oui elle je la connais une vrai peste surtout quand il s'agit de briser les autres Sum a été une des ses victimes il n'y a pas si longtemps et en voyant ta tête elle n'a pas l'air non plus de t'apprécier. Je te parie que je réussis à la rendre encore plus rouge que sa coloration.

Je regardais d'un air assez malicieux ma camarade n'attendant que son approbation afin de venger Summer et elle au passage si bien sur mon raisonnement était bon.

[Hj vraiment super d&ésolé du retard avec le bac j'ai plus trop le temps de poster. J'espère que tu me pardonnes]

Elisabeth n'appréciait pas du toute cette jeune fille. Elle avait pourtant l'air sympathique au premier regard, c'était surtout le deuxième dans le cas d'Eli qui s'était avéré être une vraie galère. Cette rouquine était la reine du sarcasme. Eli pouvait l'être aussi, c'est vrai, mais dans son cas à elle, ces sarcasmes étaient toujours méchants et étaient choisi à la perfections pour blesser son destinateur. Une genre de deuxième Heather, coté facon d'agir avec Eli bien entendu. Henri semblait bien la connaitre. Mauvaise ou bonne nouvelle? Surment une bonne nouvelle, car il semblait ne pas trop l'apprécier et avoir une idée dérrière la tête. La question était; comment comptait-il la faire rougir? Jamais elle n'avait vu Vanessa rougir ou avoir honte de quelque chose. Peut-être savait-il quelque chose qu'elle ignorait et qui pourrait lui servir d'arme durant ses prochains cours de chants?

Elisabeth réfléchissait a un million de moyen de lui rendre la monnaie de sa pièce, seulement à chaque fois qu'elle trouvait un truc intéressant, elle repenssait à sa chemise et son scénario ne marchait alors plus le moins du monde.

_C'est quoi ton plan Portman? lui demanda-t-elle avec un sourire.

Chose qu'elle allait savoir très bientôt exepté que son cellulaire qui sonnait rendait la plan plutôt impossible à chuchoter. Elle sorti donc son téléphone de son sac à main et répondit lorsqu'elle vit le numéro, s'excusant d'un autre sourire auprès d'Henri, car il était vrai qu'il était plutôt impolie de répondre durant une conversation, même si dans leur cas, se n'en n'était pas vraiment une. Si son père l'appelait et durant l'après-midi, cela devait être très très important pour qu'il en prenne le temps, car bien sur Steve Damn travaille toujours, alors pourquoi prendre une pause pour faire la jasette à sa fille? Jamais. Il devait avoir quelque chose de clair et précis à lui faire savoir qui ne prendrait pas plus que deux minutes. C'était pourquoi elle avait répondu.

_Allô papa, dit-elle sans trop d'enthousiasme. Oui oui, toi? surprenant, il prenait de ses nouvelles, sa mère ne devait pas être trop loin. Puis, il se lanca sur son long discour qu'il était sensé faire. Comme quoi l'année achevait et qu'elle devait se rappeler leur entente. Chose qu'elle voulait par dessu tout oublier. Elle lui dit alors légèrement plus abrute qu'elle ne l'aurait souhaité, chose qu'elle déduisit selon le regard qu'Henri lui avait lancé; se n'est pas vraiment le moment, je suis occupé et avec un ami, alors je te rappelle plus tard. Bye.

Et elle ferma son téléphone avant de le rangé à l'endroit initale qu'il occupait. Se disant qu'elle n'aurait jamais du répondre. Pourtant, elle savait très bien que chaque fois que le nom de ses parents apparaissaient sur son cellulaire, elle répondait et répondrait. Elle était un petit peu plus en colère qu'il y a une ou deux minutes, non, en faite, elle était totalement furieuse et elle avait bien l'intention de se venger sur quelqu'un, Vanessa. Elle tenta de reprendre légèrement ses esprits, chose qui ne fonctionna qu'à moitié et prit une bonne respiration.

_Alors, on fait quoi finalement? dit-elle tout de même avec un sourire, un peu forcé, dison-le. Désolé pour l'appel, tu sais comment son mes parents? dit-elle en riant, cette fois-ci franchement.

Les parents d'Eli n'avait jamais vraiment apprécié Henri, car ils croyaient que s'était à cause de lui qu'elle aimait autant le chant. Chose qui était à peu près vrai et ils ne s'étaient jamais forcé à simplement faire semblant qu'ils l'aimaient bien, même devant lui.

Je détestais pas vraiment les gens et ne me méfiais jamais d'eux au premier regard mais cette fille je ne la supporte pas car elle présente beaucoup de choses que je déteste. Vous voulez la liste je présume alors parlons de son hypocrisie elle est la reine du tu as vus comment elle frime celle la, ensuite le narcissisme, son égocentrisme, son manque d'intelligence et le fait qu'elle croit que c'est la plus belle la plus intelligente juste parce qu'elle a de l'argent. Je suis un peu comme tout le monde sur ce point là même si je suis encore plus riche jamais je ne ferais ce qu'elle fait. Héritier rime chez moi avec simplicité. Elle aussi semblait la détester ce qui me faisait réellement plaisir car je me sentais toujours un peu gêné de détester quelqu'un alors que mes amis l'apprécie. Eli me regarda alors avec un regard vraiment complice me demandant qu'est ce que mon projet pouvait être. Un sourire assez machiavélique se dessina sur mes lèvres "Tu sais c'est secret mais je compte bien venger toute ses victimes d'après Summer elle aurait un léger faible pour moi alors autant en profiter pour vous venger." Je la comptais maintenant comme une amie car il fallait bien le dire un jour histoire de mieux s'en rendre compte mais son téléphone sonna coupant un peu mon plan machiavélique. Vu son regard elle semblait un peu étonné de l'appel et le mot papa pour confirmer je sentis que la situation n'allait pas très bien. Elle le laissa parler avec ce long et magnifique discours de monsieur Damn. Elle raccrocha alors son téléphone sentant la colère monter en elle comme si il lui avait rappeler quelque chose qu'il ne fallait pas. C'est avec un sourire forcé qu'elle me demanda la suite de notre activité. "Ben toi tu viens deux minutes après moi et tu me laisse faire puis ensuite écoute bien l'artiste." Je me mis alors à partir vers le magasin suivi par Elisabeth deux minutes plus tard. Je m'approchai alors de la caisse avec le sourire du séducteur né, et cette Vanessa me regarda avec une tête d'ébahie. " Salut, alors d'après ce que j'ai entendu tu aurais un faible pour moi. OoO tu sais c'est naturel pas besoin de partir te cacher c'est juste un peu dommage que je sois casé avec Heather et que tu sois une peste mais bon peut être un jour on pourra peut être prendre un verre. Bon salut euh désolé je me souviens plus de ton prénom." Après un signe de la main je partis en me retenant de ne pas exploser de rire, mon amie me rejoignit quelques minutes plus tard mais elle ne s'empêcher pas de rire. "Une peste rougit toujours à l'idée de se faire rejeter devant tout le monde mais si tu oublie son nom c'est encore plus drôle. Maintenant tu vas m'expliquer pourquoi ton père t'appeler je te promets de le dire à personne."Je la regardais d'un air sérieux passant du fou rire au sérieux de nouveau en attendant sa répondre même si j'avais peur qu'elle ne se braque à nouveau.

_Tu connais mes parents hein? Et tu sais qu'il ne t'aimait pas vraiment à cause que tu chantais aussi et blabla.. et bien il y a un peu la même histoire, mais avec Jake. Au départ, j'étais sensé venir passer seulement l'année ici et revenir passer tout l'été à Paris, mais j'avais presque réussi à les convaincre de rester ici l'été aussi.. Mais j'ai eu la brillante idée de leurs présenté Jake et.. je ne sais pas.. Ils ont peur que je reste à Hollywood pour de bon, alors.. Si je ne reviens pas à Paris cet été et bien je n'aurai plus d'appartement et plus rien parce qu'ils vont cesser de payer. Même chose pour les études.. Alors c'est cela. La même histoire; ils croient que Jake va gâcher ma vie.

_Alors, ils arrêtent pas de m'appeler pour me le dire et me le redire, mais je n'ai pas l'intention de retourner à Paris. Non, NON. Jamais,

Combien de fois le dirais je réfléchis avant de parler et la curiosité t'emmènera pas au Paradis. J'étais vraiment la personne la moins doué du monde, j'avais vraiment le don de la faire passer du rire aux larmes. Je la connaissais et je connaissais sa vie et ses parents d'où le fait de lui poser cette question affreuse. Je m'asseyais alors à côté d'elle prêt à l'écouter et à la soutenir surtout connaissant son père. Il faut dire que le père d'Eli tel qu'il est resté dans mes souvenirs était l'homme qui voulait que sa fille fasse de grande chose au lieu de chanter dans une école formant des artistes. En gros l'ambition il n'y a que cela qui l'intéresse et je n'avais jamais compris le fait qu'il m'appréciait un minimum mis à part le fait que je suis un grand héritier tout comme Eli et Jake. Je l'écoutais donc attentivement prêt à la conseiller au cas où elle en aurait réellement besoin. Alors Jake aussi n'était pas vraiment appréciait par les parents de mon amie ce qui m'énervait un peu car Jake était un gars plein de qualité et bourré d'humeur que personne ne peut détester sans réelle raison. C'était bien son père de la faire chanter pour qu'elle retourne à Paris pour être une gentille fille fille bien adorable mais elle aimait Jake bien plus que moi à l'époque et malheureusement ils ne vont pas s'arrêter à cela ayant pour but de me mettre dans l'état de la demoiselle. Je tentais doucement de me calmer en l'écoutant terminer sa phrase mais comment faire car la voir souffrir m'arrachait le cœur définitivement. "Écoute je sais que je suis réellement mal placé pour te conseiller mais tu dois en parler à Jake toi comme moi savons qu'il a le don de se sortir de n'importe quel situation et si ils veulent te couper les vivres je pourrais faire en sorte de t'engager comme secretaire ou assistante dans l'entreprise familiale mais ça c'est au pire des cas et je ne ressens aucune pitié pour toi d'accord. Puis tu sais Eli tu as toujours été une battante alors montre leur d'accord?" Je la regardais en la souriant puis je la pris dans mes bras histoire qu'elle se lâche un bon coup sans que quelqu'un la voit pleurer. "Si tu ne dis rien à Jake cela va tout empirer? Allez viens on va aller se moquer des pauvres gosses de riche frimant un peu trop" Il fallait que je me rattrape que je la protège comme un frère protège sa sœur enfin bref attendons tout simplement qu'elle souhaite oublier au moins un moment pour mieux l'inspirer à résoudre son problème.

Elisabeth savait qu'Henri trouverait quelque chose qui la rassurerait à lui dire. Elle allait en parler avec Jake, c'était clair, elle ne savait juste pas quand et il était vrai qu'elle retardait le moment depuis un bout de temps maintenant. Jake savait toujours quoi faire. Mais Eli avait un doute pour cette fois-ci. Toujours prêt à lui rendre service. Elle appréciait vraiment qu'il lui propose de l'aider, mais aucune décision n'était prise encore. Peut-être retournerait-elle à Paris cet été? Alors cet emploi deviendrait inutile. Eli n'avait besoin de la pitié de personne, chose qu'elle détestait, mais avant même qu'Henri, qui sait très bien se qu'Elisabeth pense de la pitié, lui mentionne que cela en était pas, elle l'avait su. Il était gentil. Tout simplement et il tentait de l'aider. Il avait toujours été protecteur. Puis, elle se retrouva dans ses bras. Cela faisait un bout de temps. Toute fois, elle n'en vit aucune gêne. Aucun mal aise. Ils étaient amis. Les deux étaient en couple avec une personne que l'autre connaissait et c'était tant mieux. Leur histoire était belle et bien fini et avait fait place à une toute nouvelle amitié. Henri avait raison. Elle devait parler avec Jake, mais ils se voyaient si peu c'est temps-ci qu'il lui était presque impossible. Elisabeth ne voulait pas lui lâcher cela sur msn ou par texto. Elle devait donc attendre. Du moins, c'était son excuse pour le moment. Elisabeth espérait que cette excuse dur longtemps bien malgré elle. Elle n'avait pas envie d'en parler.

_ Tu as raison, comme toujours, dit-elle en riant. Je vais surement lui en parler la prochaine fois qu'on va se voir. C'est juste que c'est difficile sortir des trucs comme cela à son copain tu vois? Je crois que j'attendais de trouver la solution parfaite, mais je ne la trouve toujours pas.

Puis, elle sorti de son étreinte et respira un bon coup. Elle n'était pas venu ici pour se plaindre et elle n'en avait pas envie. Henri avait seulement surpris une mauvaise discussion téléphonique. Elle ne devrait plus répondre aux appels incessants de ces parents dorénavant. Elle lui souria pour lui indiquer que tout allait bien et attendit qu'il lui retourne son sourire pour être certaine qu'il ne s'en faisait plus. Du moins, presque plus. Elle se leva du banc.

_Alors, on va se moquer de ses fameux gosses de riches? demanda-t-elle en riant. Je n'attendais que cela moi. Mais avant, séance photo!

Puis, elle le tira vers le bras jusqu'à une de ses fameuses machines à photo dans laquelle Eli trainait Henri auparavant à chaque fois qu'ils allaient au centre commercial. Il fallait à chaque fois qu'elle le supplie, mais il finissait toujours par lui dire oui.

_Aller boude pas Portman, dit-elle en souriant. Je sais qu'on fond de toi tu as toujours adoré ces machines, c'est seulement que tu ne le sais pas, dit-elle en riant.

Je tentais de l'aider en vain je savais que si mon père me ferait un coup pareil Heather et la musique ou retourner à San Francisco pour jouer le fils le plus gentil et adorable du monde à la différence que mon père m'encourage depuis toujours. Je regardais alors Elisabeth c'est vrai que je ne pouvais pas la laisser dans cet état là avec le doute qui la dominait. J'espérais au plus profond de moi que Jake réussirait à trouver une solution il avait toujours le don de trouver une solution à tous les problèmes. Je pris alors mon amie dans les bras car c'est que nous étions maintenant des amis chacun ayant refait sa vie avec une autre personne. Nous ne sentîmes aucune gène de ce geste car il était commun avec tous mes amis. Elle m'avoua qu'il serait difficile de tout avouer à mon meilleur ami car elle ne savait pas comment faire.

"Oui ne t'inquiètes pas je te comprends très bien je sais qu'à ta place je n'arriverais pas à en parler à Heather. Tu trouveras une solution je te connais très bien et au pire tu sais très bien que tu peux m'appeler quand tu veux."

Elle attendit que je lui montre que mon inquiétude avait baissait un minimum avant de partir. C'est vrai je l'avoue je suis une personne trop protecteur mais bon je suis comme cela et personne ne me changera en tout cas personne n'a essayé pour le moment. Mais bon il faut me comprendre j'ai toujours eut le don de protéger les gens que j'aime de peur de les perdre à tout jamais et je ne supporterais pas de perdre une amie aussi cool qu'Elisabeth parce que je n'ai pas tout fait pour l'aider surtout que le cœur de Jake serait briser et ça non plus je ne le supportais déjà qu'avec Kathleen ça avait vraiment fait très mal alors avec Eli ce serait infiniment plus grave. Enfin bref il faut que j'arrête d'être paranoïaque surtout à mon age je n'ai que 20ans j'ai toute la vie pour m'en faire.

Elle avait accepté mon idée d'embêter les sales gosses de riche un peu trop capricieux (ben quoi nous sommes riche mais pas capricieux) mais avant cela séance photo. Je hais cette phrase! J'ai horreur de faire des séances photos peut être parce que je ne suis pas ce qu'on appelle quelqu'un de photogénique mais à chaque fois c'est la même chose. En gros c'est une sorte de tradition à chaque fois que nous sommes dans un centre commerciale il fallait absolument que nous fassions une séance photo dans une de ces stupide cabine. A chaque fois elle me suppliait et enfin de compte j'acceptais rien que pour lui faire plaisir. La brunette me tira alors le bras pour me ramener jusqu'à cette stupide machine.

"Bouder?! Non moi je boude pas j'ai juste horreur de ces trucs et tu le sais très bien. Puis tu sais j'ai plus de force que toi alors ça ne sert à rien de me tirer car de toute façon tu vas me forcer à aller prendre une photo alors autant y aller."

Oui je suis faible je l'avoue mais vous ne la connaissez pas quand elle veut quelque chose et elle fait tout pour l'avoir la preuve je dis oui à chaque fois. On entra alors dans une de ces machines toujours aussi affreuses on s'installa pour prendre les photos comme à notre habitude. Dès que nous fûmes prêt j'insérai une pièce et nous commençâmes les poses et les grimaces habituelles. Puis en riant comme à notre habitude nous sortîmes de la cabine et nous attendîmes nos photos.

"Tu vas voir à chaque fois c'est la même chose je suis toujours affreux sur ces photos." Les photos sortirent alors de la machine je regardais les photos avant Eli cette fois ci j'avais une tête vraiment atroce. "Tu es sûr de ne pas vouloir les jeter parce que si quelqu'un va me voir avec cette tête dont Jake, Summer ou alors Heather pour ne citer qu'eux je suis un homme mort. Allez on peut les jeter par pitié puis après on embêtera les petits capricieux ça te vas?"

Je prends vraiment mes rêves pour des réalités surtout qu'au moment où j'allais les jeter Eli me les pris des mains et se mit encore plus à rire. Ce qui veut donc dire que je suis plus affreux que je ne le pense.

Même si Eli savait très bien qu'elle pouvait compter sur Henri, elle appréciait qu'il lui dise. Parce qu'il était vrai qu'à leur première retrouvailles, cela avait été quelque peu étrange. Toute fois, maintenant, elle était heureuse de l'avoir retrouvé. Eli n'avait pas beaucoup d'ami de longue date à l'académie et c'était toujours plaisant de savoir qu'il y avait quelqu'un qui vous connaissait vraiment pour celle que vous étiez avant l'académie et aussi pendant l'académie. Il ne fallait pas se le cacher, Barichnikov avait changé Elisabeth. Cette école l'avait rendu plus sage et peut-être plus féminine? À moins, que cela n'ait aucune rapport avec l'école, mais avec les gens qu'elle y côtoyait ? Du moins, Eli avait changé et elle sentait que c'était surtout pour devenir la vraie Elisabeth Damn. Elle lui souria pour lui faire comprendre qu'elle saisissait se qu'il lui disait et pour le voir sourire à son tour avec de le traîner jusqu'à une machine photo. Elisabeth était persuader qu'il ne pourrait pas lui dire non. Il n'avait jamais pu le lui dire avant, alors pourquoi maintenant? Henri aimait beaucoup trop faire plaisir aux autres autour de lui qu'il ne lui refuserait jamais rien. Du moins, jamais rien qui soit innocent, pas comme si elle lui demandait de sauter d'un pont pour le plaisir avec elle non. Nous parlions ici de prendre des photos dans une belle petite cabine à photo tout à fait innocente.

_Arrête, j'ai bien vu que tu boudais Portman, dit-elle en riant, et je te tirais pas le bras seulement pour ne pas que tu t'enfuis en courant. Et puis j'ai beaucoup plus de force que toi, dit-elle en lui faisant un clin d'œil.

Puis, ils s'installèrent dans la machine, Eli ne pouvait s'empêcher de rire devant le visage boudeur et incertain d'Henri qui était cacher par ses propres rires. Il mit une pièce et les quatre flash annonçant les photo firent leur travail. Sur la première, Eli prit sa main pour faire un faux sourire sur le bouche d'Henri en souriant elle-même, sur la deuxième les deux riaient aux larmes, sur la troisième ils faisaient des grimaces plus horribles l'une que l'autre et sur la dernière Ils ne faisaient que sourire, l'air heureux. Ils sortirent de la cabine et attendit avec fébrilité leur photo. Du moins, Eli, car Henri semblait plus nerveux que fébrile.

_Arrête, tu exagères, dit-elle en riant, tu es toujours trrrrrès beau sur les photos Henri.

Puis, elle lui souria et en même temps, les photos sortirent et Henri s'en empara laissant une Elisabeth Damn toujours dans le doute de se magnifique photographies. Il voulait les jeter? Non mais! Alors qu'il était pour les mettre dans la poubelle la plus proche, Eli s'en empara et elle se mis à rire lorsqu'elle les vit. Elles étaient vraiment bonne, c'était certain, elle les gardait si Henri n'en voulait pas lui et bien entendu, il était beaucoup moins pire que se qu'il disait.

_Voyons Portman elles sont super belles! dit-elle en riant. Je vais les accrocher dans mon casier comme cela tout le monde de l'école va pouvoir les voir, toooout les jours, dit-elle en riant. Elle rangea les photos dans la grand poche de l'horrible chemise qu'elle portait pour être certaine qu'Henri ne s'en empare pas et puis elle rajouta ; Bon, alors est-ce que tu as identifié des petits capricieux?

Elisabeth regarda autour et elle remarqua une petite troupe de jeunes filles qui était certain avec plein d'argent et plein d'estime d'elle même. Elle les montra de la tête à Henri et lui souria. Direction Prada pour aller entendre ces petites héritière gâté pourri parler chiffon.

Tout ce que je voulais faire c'est tenter de la rassurer un peu comme un grand frère. J'ai toujours été comme cela avec mes amis que se soit les filles ou les mecs. Donc j'acceptai l'idée des photos tous simplement parce que je voulais lui faire changer un peu les idée. Bon d'accord j'aime faire plaisirs aux autres mais je vous rassure eux aussi me le rendent bien. J'avançais toujours vers cet appareil photo tout en faisant mine de ne pas bouder. Elle était en train de me contredire entièrement même si c'était la vérité pour le premier point oui je l'avoue à vous seulement je suis en train de bouder. Pour le reste ça a juste eux la conséquence de me faire exploser de rire.

" Si tu crois que je vais te dire que tu as raison et bien tu rêves. Puis tu sais si je me mettais à courir pour m'en aller le plus loin possible c'est pas tes petits bras de fillette qui me retiendront. "

Je me mis alors à rire encore plus fort tout en avançant à côté d'elle. Je m'installa alors dans cette machine prit les photos fit mon petit cinéma il faut dire qu'elles sont affreuses avec ma tête dessus mais elle se mit alors de se moquer de moi comme à son habitude.

" Moi je n'exagère jamais c'est juste que je ne suis pas photogénique et donc il faut jamais montrer ces horreurs de photos."

J'allais donc direction poubelle pour les jeter quand elle me les arracha des mains et se remit à nouveau à rire. Je m'en doutais qu'elle allait rire de moi, c'était toujours comme ça elle tentait ensuite de me taquiner un peu avant de les ranger dans la poche de l'affreuse chemise qu'elle avait. Les accrocher dans son casier alors ça c'est hors de question! Non mais je préférerais embrasser Dashwood (je vous rassure c'est métaphorique ça pourrait être Carter ou Sum' enfin vous avez comprit) que de la laisser faire.

"Alors là tu rêves je veux les deux plus laides comme ça je les garde pour les bruler le reste tu le gardes mais hors de question d'accrocher ces photos sur ton casier sinon la jolie photo où tu louches se retrouvera miraculeusement dans le portefeuille de Jake et le connaissant il t'en parlera jusqu'à la fin de tes jours. Alors marché conclu?"

Et ben quoi quand on sait pas quoi faire il faut toujours utiliser le chantage je peux vous dire que dans la majorité des cas ça fonctionne. Je regardais alors Eli puis je remarquai alors qu'elle avait remarquer deux gamine complétement pourries gâtés aller direction Prada pour aller faire du shopping. Il ne fallait pas laisser passer cela. Je souriais à Eli puis je hochai la tête ce qui signifiait que j'étais d'accord et que l'on devait commencer à les suivre.

"Bon alors on fait comme d'habitude ou non?"

Traduction pour ceux qui ne comprenne pas ce qui est normal ça veut dire regarder ces filles parler de chiffons ensuite en essaye de leur parler en essayant de les conseiller comme à notre habitude puis bien sur leur faire choisir des horreurs complétement laides mais très très chères qu'elles allaient essayer puis se moquer d'elle. Je la regardais alors en attendant sa réponse.

Du chantage? Est-ce qu'Henri Portman était en train de faire du chantage à Elisabeth Dam? Eli se rappela alors une photo qu'ils avaient prise ensemble dans l'une de ses cabines, il y a très longtemps, et qu'elle avait fait son truc de loucher. Certaine personne était capable de faire bouger leurs oreilles ou encore de toucher leur nez avec leur langue, pour Eli s'était faire loucher son œil droit et cela avait l'air très crédible, mais ne vous en faites pas, Eli ne louchait pas réellement. Il ne l'avait donc pas jeté comme promis? Ou alors peut-être ne faisait-il que bluffer? Mais est-ce qu'Eli avait vraiment envie de prendre se risque? C'était la véritable question. Elle sorti donc les photos qu'elle avait si précieusement mis dans sa poche et déchira sur la ligne blanche du milieu et elle lui tendit les deux premières. Celle qu'elle lui faisait un sourire et celle sur laquelle ils riaient. C'était surement les deux pires.* Il va être content, son chantage à marché* bouda Eli intérieurement. Parce que jamais elle n'avouerait quelque chose comme cela à voix haute. Toute fois, elle lui fit une petite grimace pour lui faire savoir son mécontentement. Immature? Bien entendu. C'était Elisabeth et Henri. Elle remarqua alors deux jeunes héritières qui entraient chez Prada. Eli souria malicieusement à Henri, sourire qu'il lui rendit. Bien entendu, qu'ils allaient faire d'habitude. Cela faisait tellement longtemps qu'Eli n'avait pas ennuyé des petites filles de riches gâté pourri, car étonnamment, aucune de ses amies n'avaient voulu participer à cette activité, ma foie, très instructive. Mais maintenant qu'elle avait renouer avec Henri, elle allait pouvoir s'abonner de nouveau.

_Quelle question? Bien entendu qu'on fait comme d'habitude, dit-elle en riant. Et juste pour toi Portman, je vais prendre mon accent Parisien. chose qu'elle fit à l'instant. Alors, me voilà, une vraie styliste parisienne.

Elisabeth trouvait que cet accent sonnait étrange dans sa gorge. Avant, elle habitait à L.A, elle avait donc eu son accent américain toute sa jeunesse et elle avait du prendre l'accent parisien lors de son adolescence pour se faire bien comprendre dans sa nouvelle ville et elle l'avait ensuite mis de côté lorsqu'elle était revenu à L.A et elle avait retrouvé son accent d'antan. Toute fois, elle l'utilisait toujours lorsque quelque amis de Paris lui téléphonait, elle ne l'avait donc pas perdu et trouvait cela amusant de le reprendre de temps à autre. Comme maintenant. Lorsqu'ils étaient pour entrer chez Prada, Eli remarqua sa tenu dans l'une des vitrines et trouva qu'elle n'avait pas trop l'air crédible.Elle retira donc l'affreuse chemise et elle se senti du coup plus à l'aise dans ses propres vêtements. Elle ria.

_C'était seulement pour qu'il me laisse entrer dans le magasin, parce que je suis pratiquement certaine qu'il ne laisserait pas une fille habillé avec cette chemise entrer. Chemise qu'elle plia rapidement en deux et tin autour de son bras.

Puis, ils entrèrent dans le magasin. Elisabeth remarqua alors les deux rouquines dans le fond du magasin. *Uuh? C'était le festival des rouquines aujourd'hui ou quoi?* ne pu s'empêcher de penser Eli. Elle fit signe de la tête à Henri et ils marchèrent dans cette direction, Elisabeth prenant bien soin de retrouver son accent français. Pour la prochaine fois qu'elle parlerait.

_Non, mais tu as vu cette robe? On dirait l'une de mes créations de mon dernier défilé à Paris. Il a eu teeeeellement de succès en France, dit-elle en regardant une robe hors de prix et complètement ridicule.

Eli attendu qu'Henri rajouta sa touche qui ferait que les deux filles l'achèteraient. Elle se demandait s'il ferait encore comme s'il était recruteur de jeunes mannequines pour défilé ou s'il irait plus, lui aussi, en tant que styliste. Chose qu'elle allait bientôt savoir.