One movie for two sisters ( PV Eileen)

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Notre jeune photographe avait eu une journée chargé. Tout d'abors, elle s'était levé à l'aurore et était allée courir dans la ville durant environs une heure, puis elle était revenu prendre une bonne douche. Elle avait applati ses cheveux bruns et s'était légèrement maquillée. Elle avait enfilé une petite camisole en soie grise avec de la dentelle blanche, dans le haut, avec une jupe en jean, des ballerine blanche et un bracelet blanc. Elle avait prit tout ses trucs pour ses cours, son appareil photo et un sac à main blanc, puis elle était parti vers son premier cours de la journée. Enchainant, math, anglais, photographie, histoire, la journée de notre Abby s'était achevé vers les 18h30. Elle envoya un texto à sa soeur Eileen pour lui demander si cela lui disait d'aller voir un film. Comme Abby en était certain, elle accepta avec joie.

Abigael avait laisser tout ses trucs de cours dans sa chambre, avec son appareil également et était parti direction le cinemas. Elle arriva devant le gros batiment et se rendit compte qu'Eileen n'était toujours pas arrivé, elle en profita donc pour examiner les film à l'affiche. Il y avait deux films d'amour à l'eau de rose, un film d'action et un film d'horeur. Elle se demandait lequel sa petite Eileen allait vouloir aller voir, dans son cas, n'importe lequel expeté les deux films d'amour allait lui faire plaisir. Puis, elle vit Eileen qui arrivait, marchant da sa direction.

Salut ma petite Eileen chérie. elle lui souria et la prit dans ses bras. Comment ca vas?

vraiment désolé pour l'attente et pour la longueur du texte, j'ai du faire sa short and sweet. ;p

Eileen avait passé une journée atroce. Elle s’était pourtant surpassée en cours de comédie, et avait brillamment réussi sa chanson dans son cours optionnel de chant. Mais Eileen n’avait vu personne de proches. Summer avait été absente, Savanah n’avait pas été là au cours de comédie, Henri n’était pas à la cafétéria, Emily n’avait pas donné signe de vie de la journée ce qui était étrange, et Edward s’était volatilisé.

Toutes les personnes, ou presque toutes celle auxquelles Eileen tenait se cacher, ou du moins, c’est l’impression qu’avait Eileen. Alors, qu’elle ne fut pas sa joie quand elle reçut un message sur son téléphone de sa sœur Abigael. Elle ne l’avait pas vu depuis quelques jours, et elle lui manquait déjà beaucoup, surtout en ce moment.

Eileen, au moment du sms, se trouvait sur son lit et regardait la télé, seule dans son coin. Emily n’était d’ailleurs pas rentrée de l’académie, ce qui avait inquiété Eileen. Celle-ci s’empressa d’ailleurs de répondre à Abigael que ce serait avec joie qu’elle la retrouverait au cinéma.

Eileen se prépara simplement avec une robe fuchsia de la dernière collection à son père. Eileen affectionnait tout particulièrement cette robe car son père avait offert la même à Emily, Abigael et Savanah, respectivement sa meilleure amie, sa demi sœur, et la 4eme compère des quatre fantastiques, le mentor d’Eileen.

Eileen partit à pied en direction du cinéma et retrouva sa sœur devant celui-ci. Elle sauta dans les bras d’Abigael, et la serra contre elle.

-« Ca va à peu près et toi ma belle ?? Tu vas bien ? Et pas la peine de me mentir »

[HJ: ne t'inquiètes pas je comprends ^^]

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Ca va à peu près. Abby se demandait si c'était un à peu près bien ou un à peu près mal, car il y a bien sur une immense différance entre les deux. Abigael n'avait pas l'habitude de mentir à Eileen exepté parfois sur son moral lorsqu'elle était triste ou même encore en colère et qu'elle ne voulait pas qu'elle s'en fasse pour elle inutilement, car elle déteste inquièter les gens qu'elle aime. Surtout, Eileen, Henri, Tiffany et son propre père, ils se font tellement de soucis pour un rien.

Moi? Cela pourrait être pire. dit-elle en riant. Alors qu'elle films te tente? Je te laisse même choisir pour une fois.

Les deux soeurs allaient souvent au cinémas lorsqu'elles étaient adolescentes et presque chaque fois c'était Abby qui décidait, car elle trouvait qu'Eileen avait de drôle de goûts pour les films. Eileen n'avait jamais émit de protestation, car pour tout le reste, c'était biens sur elle qui décidait. Les deux demoiselles entrèrent dans le batiment et se mirent dans la ligné.

Je me demandais comme cela ma belle, le à peu près de tout à l'heure c'était un bien ou mal?

Elle lui demanda sérieusement, car elle ne voulait vraiment pas qu'Eileen ait le moindre problèmes ou la moindre peine. Peut-être Abigael imaginait tout en pire étant donné qu'elle même lui avait répondu un truc du genre en blague, mais elle ne voulait pas prendre de chances avec les sentiments à sa petite soeur. Étant donné que les deux jeunes demoiselles ont environs le même âge, elles n'avaient jamais opté l'une pour la grande soeur protectrice et l'autre pour la petite soeur rigolotte. Elles se partageaient les deux rôle équitablement. Les deux étant très bien capable d'assumer entièrement la tâche de la grande et de la petite soeur.

Alors dit-moi Eilenoudichou. dit-elle en blaguant.

Cela pouvait être pire ?! Ce n’était en rien une nouvelle très réjouissante. Abigael avait quelques petits secrets, tout comme Eileen. Et comme sa sœur, Abi n’aimait pas affoler ses proches avec des petits soucis. Seul bémol, Eileen devinait tout chez sa sœur, surtout quand il y avait un problème. En même temps, elles n’étaient pas sœurs pour rien.

Abigael rajouta qu’Eileen pouvait choisir le film, chose étrange, puisqu’en temps normal, c’était toujours Abi qui choisissait le film. Enfin, elle n’allait pas s’en plaindre. Cela lui faisait plaisir de choisir le film, surtout qu’à l’affiche, un film la tentait plutôt bien.

-« J’ai une folle envie de voir FAME. J’ai entendu dire qu’il était aussi bien que la première version, et que les acteurs étaient géniaux. »

Abigael demanda ensuite à Eileen si le à peu près de tout à l’heure, était un à peu près oui ou un à peu près non. Eileen n’avait en aucun cas envie d’alerter sa sœur et de lui dire que c’était un à peu près non. Elle allait s’enflammer, et pensait qu’Eileen était déprimée, ce qui n’était pas le cas. Mais en même temps, elle ne pouvait pas mentir à sa sœur, c’était comme si elle mentait à Emily, et l’un dans l’autre, elle n’était pas capable de cela.

-« C’était plus un à peu près non. Mais rien de grave je te rassure ! »

Rajouta Eileen avec un sourire.

Eileen, tout en cherchant à rassurer sa sœur, voulait savoir aussi ce qui tracassait sa sœur. Elle voyait bien qu’Abigael n’était pas à 100% au top de sa forme.

-« Et toi ?! Je vois bien qu’un truc te tracasse. Qu’est-ce donc ?! »

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Eileen avait envie d'aller voir Fame. Pour une fois, Abigael trouvait qu'Eileen avait fait preuve de beaucoup de goût pour le film. Abby avait entendu parler de se film et avait vu plusieurs annonces en plus de s'avoir à peu près à quoi s'attendre ayant déjà vu un épisode une fois quelque part dans sa courte vie. Puis, elle enchaina en lui disant que c'était un à peu près non.. Notre jeune brunette se demandait se qui pouvait bien tracasser sa petite soeur chérie, mais quoi que se soit, elle allait finir par le savoir. Eileen lui disait toujours tout, même si les deux demoiselles avaient toujours peur de trop inquièter l'autre, elle finissait toujours par s'avouer vaincue devant le visage inquiet de l'autre et finalement tout avouer.

Bien c'est ma fête dans deux jours alors, tu comprends..Mais sinon ca vas. elle lui renvoya son sourire. Cela va bientôt faire 20 ans que j'affronte cela, alors c'est moins pire d'année en année tu le sais bien.

Eileen s'avait très bien que l'anniversaire d'Abby signifait également la mort de la mère d'Abi. Abigael Reed était en effet décèdé en mettant au monde sa fille unique, Abigael Burst. Depuis toute petite, son père ne voulant pas lui cacher la révérité, Abby se sentait mal chaque fois que c'était son anniversaire. Étant petite elle croyait que son père lui en voulait en cause de sa mère, mais en grandissant elle s'était rendu compte que son père l'adorait et qu'il ne pouvait pas lui en vouloir pour cela. Mais cette période de sa vie était toujours triste, car n'ayant connu sa mère, le deuil continuait chaque année. Lorsqu'elle était jeune, c'était Eileen qui la consolait lorsqu'elle se reveillait dans la nuit et pleurait la journée de sa fête, mais avec les année tout cela était devenu moins pire, du moins, Abby le cachait mieux..

Les deux demoiselles entrèrent dans le cinémas et achetère leur tiquet. Abby pu même payer selui d'Eileen en le payant sans même qu'elle ne s'en rendre compte.

Tiens ma petite Eileen chérie. puis elle lui tandis le tiquet. et tu n'as pas le droite de refuser, c'est tellement rare que je te donne des cadeaux.. Puis elle lui fit un petit clin d'oeil.

Vraiment désolé pour l'attente;)

Abigael avait l’air d’apprécier le choix du film. D ‘habitude, elle critiquait toujours les choix cinématographiques de sa cadette. Mais là, elle était d’accord pour FAME. En même temps, FAME était un classique du cinéma, et le voir remastorisé, semblait être une bonne idée.

Eileen avait tenu à rassurer sa grande sœur en lui disant que l’à peu près non n’était pas grave. Ce qu’Eileen voulait savoir avant tout, était ce qui tracassait sa sœur. Et celle-ci lui expliqua que la date de son anniversaire arrivait. Il était vrai qu’Eileen avait un petit peu zappé la date actuelle. Elle n’avait pas vraiment fait attention à la date parce que pour elle, le temps passait à une vitesse folle et elle ne s’était pas rendu compte des mois passés.

La brunette comprit pourquoi Abigael n’était pas au top de sa forme. Celle-ci s’était toujours sentie d’une certaine manière coupable de la mort de sa mère, qui était morte en la mettant au monde. Pourtant, même petite, Eileen l’avait toujours consolé et arrivait parfois à la convaincre qu’elle n’y était pour rien, mais c’était quelque chose de dure à faire.

-« Oh je comprends ma belle. Mais je te promets que ce jour là, je ferai tout pour te changer les idées. Et puis tu sais, mine de rien, vingt ans ce n’est pas rien. Même si c’est un mauvais souvenir pour toi, il faut que tu le fêtes. Ta maman n’aurait pas aimé te voir si triste en ce jour si important. Et puis, elle te voit de là haut ! Et son plus grand bonheur c’est de te voir heureuse »

Déclara Eileen.

Elle ne savait pas si elle avait trouvé les bons moments, mais elle voulait consoler sa sœur, et faire en sorte que celle-ci profite de la journée qui serait la sienne dans deux jours.

Elles entrèrent dans le cinéma, et Abigael paya la place à Eileen.

-« D’accord. On ne refuse pas un cadeau ! Alors tu ne refuseras pas le pop corn que je t’offre dis moi ?! »

Répliqua Eileen qui partit acheter deux pots de pop corn.

[HJ : Pas grave, ça m’a permis de répondre aux autres^^]

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Abi aurait du voir le coup venir, il était impossible que sa petite Eileen chérie lui laisse payer les tickets sans qu'elle, de son côté, pait quelque chose en retour. Eileen aimait faire plaisir à Abby depuis toujours, cela lui dérangeait parfois, comme aux Noels qu'Eileen lui avait acheté un plus gros cadeau ou des trucs futiles comme ceux-là. N'empêche lorsqu'Abigael Burst refusait un cadeau de la part d'Eileen cela devenait un vrai supplice. Elle s'était habitué avec les années et les acceptait maintenant le plus souvent s'en chigner. Encore une fois, Eileen avait trouvé les bons mots pour lui remonter le moral. Abby se demandait toujours comme elle s'y prenait. Pourtant, se soir, elle n'avait qu'une envie à présent. Passer un bon moment avec Eileen sans penser à la date fatigique qui approchait à grand pas.

D'accord va les acheter ses pop-corns. toute fois, Abbi la suivi dans la ligné. Il y avait tellement de monde se soir là, qu'elle n'aurait pas voulu la perdre des yeux pour ensuite la chercher dans le cinemas pendant une demi-heure.

Eileen acheta deux gigantesques pop-corns qu'Abigael n'était pas sur de terminé, mais ne dit rien souriant devant le visage enjoué de sa petite soeur. Alors qu'elles se dirigeaient en bavassant vers la salle 6, Abigael légèrement distraite écoutait attentivement le recit d'Eileen. Elle ne vit donc pas le jeune homme, un énorme sacs de mais soufflée dans les mains, qui foncait droit sur elle. Puis sans crier gare, il lui rentra dedans. Projettant tout son pop-corn sur notre brunette et projettant tout le pop-corn d'Aby sur lui.

Notre jeune photographe n'arrivait plus à prononcer un seul mot, complètement figé. Mais, il fallait si attendre, car tout les jours des inccidents dans se genre là lui arrivaient. Elle fini par ouvrir la bouche et prononca complètement désolé; Oh mon dieu! Est-ce que ca vas? Je suis vraiment désolé, je ne regardais pas où est-ce que j'allais. Puis, elle lui offrit un regard suppliant. La pire chose qui pouvait arriver était qu'il lui oblige à lui racheter un pop-corn, il n'y avait donc pas quoi trop s'énerver..Quelque secondes en silence passèrent avant que les trois n'explosent d'un grand rire.

Abigael croyait-elle réellement qu’Eileen allait la laisser payer quelque chose, sans qu’Eileen ne lui offre un truc en retour ?? Eileen préférait offrir que recevoir, c’était idiot mais elle était comme ça depuis petite. Ca l’a gêné de recevoir des cadeaux, elle se sentait rougir rapidement et se confondait en remerciement. La seule personne de qui elle recevait des cadeaux sans broncher, était de son père. En même temps, il était le petit fils du créateur de la maison Lacoste et donc cela ne lui coutait vraiment rien d’offrir des vêtements de sa marque à sa fille. Et Eileen s’en réjouissait toujours, car de cette manière, elle arrivait à faire profiter sa sœur, sa meilleure amie et ses quelques proches amies. C’était cela qu’Eileen aimait par-dessus tout. Offrir. Voir la joie sur le visage de la personne quand elle ouvrait son paquet.

Enfin, les deux sœurs se dirigèrent vers le stand de popcorn et Eileen en commanda de giga pots. Elle savait que malgré leur taille fine, les deux sœurs seraient capables de les manger, quoi qu’en pense Abigael.

-« Oh je ne te l’ai pas encore dit. Mon amie de NewYork, Jane vient de débarquer ici. Je suis super contente car…. »

Et Eileen n’eut pas le temps de terminer car Abigael percuta un jeune homme. Leur popcorn respectif se projeta sur l’autre et ils étaient les quatre fers en l’air. A cette vue, Eileen se mordait les lèvres pour éviter de rire. D’ici 5secondes, Abigael allait se confondre en excuse. 5…4…3…2…1 et paf voilà c’était fait.

Evidemment, Eileen ne put se retenir indéfiniment et elle explosa de rire, suivit par les deux autres.

-« Abi, je crois qu’il faudrait te relever quand même »