Ce matin j'avais un peu le moral dans les chaussettes ce qui ne m'a pas empêché de faire la grace mat' au contraire. Bon bref je me réveille assée tard dans la journée lorsque je me rapelle que j'avais promis à Aby d'aller manger une glace avec elle. C'est alors que je me réveille en sursautant et courru dans la salle de bain même si j'avais quelques heures devant moi. Je pris aors am douche en me rasant un peu histoire de ne pas avoir l'air négligé mais ça allait être compliqué avec mes cheuveux. Je sortis de ma douche et je me dirigeais maintenant vers mon armoire à vêtements. Je ne savais pas quoi choisir chemise ou t-shirt accompagné de jeans ou alors d'un patalon simple? Quand je disais que je j'allais mal maintenant vous me croyais. J'optais alors pour un pantalon noire avec une chemise grise accompagné de ma chère et tendre paire de converse noire puis pour faire plus joli j'ajoutais une veste d'homme que j'adore tant.

Avant de partir je me regardais étrangement dans le miroir mes cheuveux était dans un état épouvantable mais je n'avais pas le temps de m'en soucier car sinon j'allais arriver en retard. Maintenant je me dirigeais vers le parking pour prendre ma voiture et je montais donc à l'intérieur avant de la démarrer. Elle était neuve parce que mes parents voulaient m'en offrir une autre après l'accident en parlant de ça il fallait que j'évite d'en parler à Abigael cela l'énerverait. Bon je garre ma voiture devant la crémerie et j'entrais donc à l'intérieur personne? C'était étrange Aby avait l'habitude d'arriver en avance ce qui m'inquiétais un peu je sais déjà ce que vous vous dites et vous avez parfaitement raison je suis fou mais bon c'est comme ça que je suis moi Henri Portman. Je m'asseyais donc sur une chaise dehors pour profiter du beau temps lorsque je vois Abigael arriver et comme toujours je sourriais dès qu'elle apparu dans mon champ de vision. Je me levais donc pour lui faire la bise en la regardant.

Salut aujourd'hui tu n'as pas oublié que c'est toi qui paye les glaces. Sinon ça va?

Abigael avait passé la soirée sur le net à parler avec son père. Cela allait bien faire six mois que notre jeune demoiselle de Londre n'avait pas appercu son cher papa et il lui manquait. Mais se n'était rien à comparer le sentiment de solitude que son père éprouvait semblait-il, car se sont exactement ses mots pour rigoler qu'il avait employé le veille. Elle s'était donc couché vers les petites heure du matin à cause du décalage horaire. Elle s'endormi sur son lit, encore toute vêtu vers 3h45 du matin.

Abby sentait qu'elle n'avait pas assez dormi lorsque son Ipod commenca à jouer, car s'était son reveille matin, elle ne pu s'empêcher de l'éteindre sur le champs, car elle n'avait pas cours aujourd'hui et le cadran indiquait neuf heures trente. Soit, elle avait un rendez-vous à la crèmerie avec son meilleur ami à onze heures, elle avait donc encore du temps devant-elle pour dormir. Malheureusement, elle ne pensa pas qu'elle allait se rendormir aussi profondément, car elle se reveilla en sursaut lorsque son cadran indiquait dix heure trente. Notre Abby sauta de son lit et prit une douche à la dixième vitesses, sans prendre la peine de se laver les cheveux, car elle l'avait fait la veille. Elle qui avait l'habitude d'arriver toujours un bon cinq minutes d'avance, elle était pour être en retard"! Elle enfila une petite robe d'été qui lui sciait comme un gant, cadeau de son père, prit ses ballerine noir, enfila un bracelet également noir, laissa ses longs cheveux bruns bouclés naturellement, se parfuma un peu, empoigna son appereil photo et son sac à main également noir avant de partir vers la crèmerie.

Elle siffla un taxi et pendant qu'elle attendait assise confortablement à l'arrière, elle en profita pour regarder le paysage d'hollywood défilant devant ses grands yeux bruns. Elle sorti son appreil photo à une lumière lorsqu'elle vit un couple de personne âgé assient sur un banc de parc main dans la main. Puis, elle paya le taxi et sorti. Elle remarqua alors sont meilleur ami assi seul sur un banc devant la crèmière, elle marcha alors plus rapidement et arriva finalement à lui. Elle le prit dans ses bras.

- ouais je m'en rappelle. puis elle lui fit un clin d'oeil. Je vais très bien apart que je suis un peu fatigué, en passant désoler pour le retard vraiment! Puis elle lui souria s'achant très bien qu'Henri ne pouvait se fâcher contre elle.

Les deux amis entrèrent dans la crèmerie et regardèrent le menu un instant. Abby opta pour un tourbillon oreo. Elle se retourna et l'expression sur le visage d'Henri était trop mignon. Il avait l'air indécis et heureux. Elle prit donc son appreile et le prit de profil, le cliché était magnifique. Elle lui fit un immense sourire lorsqu'il se retourna vers elle avant de dire;

- Allez gâte toi qu'est-ce que tu veux, tout facon c'est ma tournée!

Je regardais Abby qui semblait être assée contente même si moi j'avais le moral dans les chaussettes. Je me demandais comment j'ai réussi pour me lever moi qui n'arrive même pas à lui dire la vérité et vu ma tête ça devait se voir à deux cent métres. Elle s'excusa de son retard mais je lui avais déjà pardonné et ceux depuis que je l'ai apperçue dans la rue ben quoi c'est ça l'amitié. Elle n'avait pas oublié que c'était elle qui m'offrait cette glace puisque je lui avais promis donc j'essayais de lui sourrire le plus sincérement possible même si il fallait que je lui parle.

Ben je sais que trouve ça bizarre mais moi j'adore celà donc ce sera une glace à la cannelle et un milk shake comme je les aime.

Maintenant j'allais comprendre pourquoi les filles aimaient tant les glaces lorsqu'elles sont tristes.J'allais lui dire la vérité car elle se doutait de mon état d'esprit et pas qu'un peu. Mais par où commencer par le commencement bien entendu par lequel celui du Henri épanouit ou de l'épave qu'il est devenu en moins de temps qu'il n'en faut pour dire ouf. Bon et bien je me lance.

En fait si je t'ai demandé de venir ici c'est pour une simple et bonne raison : Ana et moi c'est terminé on a rompu il y a une semaine juste après notre virée à quatre. Ellle voulait partir et moi je ne l'ai pas retenue et je commence à me rendre compte que je ne l'aimmais aussi fort que je ne le pensais et elle non plus d'ailleurs je te rassure on est resté amis tout les deux. Mais bon cessons de parler de moi et toi alors quoi de beau dans ta vie depuis la dernière fois qu'on s'est vu?


Je ne savais pas trop quoi dire ce n'étais pas la première ni la dernière avec qui je rompais avec une fille et cela Abigael le savait bien c'est elle qui m'avais consolé la dernière fois que c'est arrivée. C'est peut être pour cela que c'est la seule qui est au courrant de ça bien avant Savie ou ma famille. Je la regardais à présent en attendant sa réponse.

[Hj désolé du retard j'espère que tu me pardonnes.]

Après avoir prit le cliché d'Henri, elle le regarda. Puis, elle se rendit compte en examinant sa photographie, que se n'était pas une expression de joie qui remplissait tout les traits du beau visage de son meilleur ami, mais plutôt de peine. Elle avait déjà vu cet expression peiné une fois ou deux auparavant. Un visage qui voulait faire croire qu'il était heureux lorsqu'il ne l'était pas. Puis, il répondit finalement à sa question. Henri avait touché juste, Abigael n'aimait vraiment pas ses choix de crème glacer. Elle ria donc légèrement ne pouvant décrocher ses yeux des propres yeux tristes d'Henri. Les deux amis commendèrent, Henri avec ses trucs étrange et Abby avec son tourbillon oreo. Elle paya le tout et ils allèrent s'asseoir sur le même banc à l'extérieur, où était assis Henri quelque secondes plutôt.

Elle remarqua que son plus grand ami la regardait, cherchant comment s'exprimer. Cela lui serra le coeur et noua son ventre, mais qu'est-ce qu'il pouvait bien y avoir? Elle déposa sa main sur son bras et lui fit un petit sourire avant qu'Henri commence son récit. Cela fesait une semaine qu'Henri et Ana avaient rompu. C'était toute une nouvelle, Abigael s'attendait à tout sauf à cela. Le premier réflexe qu'elle eu fut de le prendre dans ses bras. Abigael n'avait vraiment pas envie de lui raconter ses bons et mauvais moments de depuis une semaine, tout se qu'elle voulait s'était garder Henri dans ses bras. Son ami avait tendance à ne pas montrer tout de suite ses vrais sentiments et Abi le savait très bien. Sans le lâcher, elle lui dit;

Henri, tu aurais du m'appeler, je serais venu tout de suite. Tu le sais très bien. elle marqua une pause. Je n'en reviens pas.. Elle le lâcha de son étreinte et le regarda dans les yeux, pour ne pas qu'il lui ment. Comment tu le prends? Sincèrement Henri Portman.

Elle avait rajouté la dernière phrase avec une petite moue, histoire de le faire sourire, en tassant une mèche des cheveux d'Henri qui lui tombait devant les yeux, comme une mère l'aurait fait. Abby avait eu l'intention de lui parler du départ de David, si Savie ne l'avait pas encore fait, mais elle s'avait très bien qu'elle ne pourrait pleurer sur son sort pendant que son propre meilleur ami était triste.

C'est pas grave ;p Pas fâché du tout

Voila pourquoi je deteste parler comme cela de moi parce qu'à chaque fois j'ai Aby et les autres qui me serrent dans leurs bras car cela me rend encore plus triste. Je regardais alors ma meilleure amie en essayant de me remettre à sourrire mais en tentant tristement de lui assurer que je vais bien. Je mangeais alors ma glace en la savourant peu à peu lentement afin de trouver les mots, mots qui ne viendraient certainement pas maintenant. Je l'écoutais me demander de lui dire ce que je ressens mais comment le savoir moi même. Bon maintenant je jouais avec ma cuillère et en regardant ma glace cherchant que dire mais cela fini par venir tout seul.

En fait je ne voulais pas vraiment en parler comme je l'ai dit tu es la première au courrant. Je sais que cela ne sert strictement à rien de te mentir alors je vais tout de dire.
Je n'en sais rien je suis heureux qu'on est rompu au lieu de se rendre triste muttuellement mais en fait je suis triste car on dirait que je ne suis pas fait pour devenir amoureux c'est la deuxième fois que cela m'arrive et je commence à en avoir marre. Je te rassure Ana n'a rien avoir avec cela je sais juste que je ne suis plus où j'en suis pour la première fois de ma vie j'ai peur que vous me laissiez tout seul toi et les filles. C'est stupide mais je pense que j'ai besoin de vous même si je ne veux pas l'avouer. Alors qu'est ce que tu en penses Aby je suis bon à être interné ?

Je sourriais maintenant, mais cela n'était pas un sourrire pour cacher mes émotions celui ci était sincère mélant joie et peine un sourrire à la Henri quoi. Je continuais à manger ma glace mais mon regard c'était redirigé vers ma douce meilleure amie c'est bien qu'elle soit au près de moi je l'adore tant et elle me le rend bien on dirait. Je regardais alors autour de nous des couples tous aussi heureux les uns que les autres rigolant et même s'embrassant mais je n'en avais strictement rien à faire car je venais d'ouvrir mon coeur et le vider devant une personne qui me comprennait vraiment.
Je venais de terminer ma glace et j'attendais que la demoiselle finisse la sienne. En attendant j'essayais à mon tour en savoir plus sur ce qui lui arrivait en ce moment.

Alors cessons de parler de ma triste vie amoureuse et parlons de toi alors aucun garçon en vue?

Ben quoi la curiosité était un défaut chez moi mais je ne voulais pas qu'elle tombe sur un sombre crétin car malheureusement il y en a trop dans ce monde qui ne la mériterais même pas un peu. Enfin je m'égarre je fixais encore mon amie pour avoir une réponse de sa part qui ne tarda pas du tout.

Une fois qu'Abi eu demandé comment Henri prenait la rupture, pour une fois, celui-ci se vida complètement le coeur sachant très bien qu'il ne pouvait pas mentir à sa meilleure amie. Il semblait bien prendre la rupture et la comprendre par apart à Ana. Ce qu'il semblait le rendre plus triste s'était de ne pas avoir trouvé la bonne femme encore pour lui. Lorsqu'il lui fit par de ses craintes qu'elle et les filles le laisse tomber, Abigael eu besoin d'une seconde de réflexion, car jamais elle n'aurait pu seulement penser qu'un jour, elle vivrait sans son meilleur amie et que leurs autres feraient de même. Mais Henri était effrayé par apart à cela et ca se comprenait, leur étude avancaient rapidements et tout le monde sait que lorsqu'on vieillit, les amis passent après la famille et Henri était dans un mauvais moments alors la peur avait fait surface.

Henri, tu n'es pas bon à être interné, parce que sinon je le suis aussi. J'ai peur aussi parfois de me retrouver seul. Mais rassure toi, comment veux-tu que je vive sans t'avoir dans les pattes. Abigael ria légèrement. Je te promet Henri Portman, que jamais tu ne seras débarassé de moi. Puis elle lui souria.

Ils restâmes assis ainsi à manger leur glace respective et en regardant autour d'eux. Abi se demanda à cette instant même comment cela se fesait que les gens aux alentours, semblaient toujours heureux et épanoui avec un aura d'amour qui les entourent, lorsque qu'elle n'avait rien de cela. Rien de cela c'était exagéré, elle avait ses amis, Henri, Eileen et son père. Puis, Henri lui parla de la vie amoureuse de notre jeune brunette...

euum, no-non. Aucun gars en vue. Abigael ne savait pas trop si c'était le moment de lui parler de David, car elle ne voulait pas le mettre en colère ou qu'il devienne plus triste, mais en même temps, elle s'avait qu'il verrait qu'il y avait quelque chose qui clochait et elle ne voulait pas lui mentir. Elle lui fit un regars suppliant puis commenca d'un ton de voix neutre comme si cela lui était complètement égal. En faite, est-ce que Savie t'as dit que David avait déserté?

Abigael Burst espérait que son ton de voix n'avait rien trahi, car elle était une très mauvaise commédienne et elle le savait très bien.


Dsl pour l'attente, j'ai été malada alors je n'ai pas pu aller sur l'ordinateur.

Aby avait toujours su trouvé les mots avec moi et la peur allait bientôt laisser place à ma tranquilité habituelle qui me correspondait en tout point. Enfin je me posais des questions comme tout le monde du genre comment cela se fait il que je ne sois pas au trente sixième dessous après le départ d'Ana et comment les gens ont ils fait pour reprendre leur quotidien comme si de rien était. Je ne supportais plus rien et j'étais en plein doute pourquoi ont ils droit au bonheur d'avoir une moitié alors que moi je n'y ai pas le droit. Si je n'étais pas de mauvaise hummeur je me serais collé des baffes capricieux comme je viens de l'être. Je n'étais pas seul loin de là j'avais Aby, ma famille et tous mes autres amis combien peuvent avoir ma chance alors je décidais enfin d'arréter de me plaindre et d'écouter un peu parler d'Aby m'annoncer qu'elle aussi était seule c'est si étrange car elle avait tout pour plaire mais certain garçons préféraient les reines des garces aux filles comme Aby puis personnellement je ne les ai jamais compris moi qui haissais et je déteste toujours les filles avec une cuiller en or dans la bouche.

Puis vint enfin le coup de grace David avait laissé tomber ma cousine. Et vu la réaction que je venais d'avoir Aby venait de faire une grosse gaffe. Je me doutais qu'il la laisserait comme cela seule et triste il avait toujours était comme cela avec les femmes mais maintenant c'est trop tard.


Non je ne savais pas j'étais bien trop occupé à penser à moi comme à mon habitude. On s'en doutait bien tout les deux que cela allait malheureusement se passer. Depuis quand ce crétin a quitté ma cousine?


Je la regardais à nouveau en terminant ma glace avec le sourrire en moins c'était ma cousine dont on parlait et je n'avais même pas remarqué qu'il l'avait laissé tomber comme une vieille chaussette. Pauvre Savie je me demande dans quel état elle devait se trouver.

Sinon comment va Savie elle a pris comment la rupture? Mais surtout comment tu vas en sachant que Jagger et toi....

Je ne savais pas quoi dire étant donné qu'Aby avait eu une liaison avec lui et que je le détestais encore plus qu'avant car qu'il s'amuse à me faire mal je n'en avais rien à faire mais qu'il brise le coeur de ma petite Savannah il en était hors de question. J'espère seulement qu'il est quitté la ville.