Le pourquoi du comment (ELISABETH)

Après avoir quitté ma chambre nous partîmes dans ma voiture jusqu'à la marina. Aucun de nous deux n'osait parler peut êtrre ne sachant quoi dire alors j'allumais l'auto radio laissant la musique détendre en vain l'ambiance. La prochaine fois que j'ai des idées intelligentes je la fermerais parce que si la sortie se déroule comme dans la voiture et bien c'est bien parti. Je réfléchissais sur ce que je comptais répondre à propos d'elle et moi ou plutôt je tentais de rassembler mes vieux souvenirs pas si vieux en fait de nous deux et maintenant j'avais la réponse sur ce que je savais. Je me garai alors près de la marina puis je descendis de la voiture, je n'osais pas vraiment lui ouvrir sa portière priant qu'elle ne réagisse pas mal ensuite nous avancions doucement comme si de rien était alors que tout semblait vraiment très étrange.

En fait tu as surement oublié mais je me souviens très bien de t'avoir parlé de Jake je t'avais même montré une photo de nous deux et de Kathleen..... Je vais arréter de t'embêter avec Kathleen surtout que tout le monde te parle d'elle et aussi je pense encore à la façon dont elle nous a tous laissé Jake en était cent fois plus brisé qu'il n'y parrait tout comme sa colocataire et moi.

J'avançais alors doucement la vue était tout simplement magnifique la mer m'avais manqué et tout ces bateaux cela me rappellais le jour où j'ai rencontré Elisabeth sauf que c'était dans un port et pas une marina enfin moi je vois pas trop la différance.

Alors tu veux louer un bateau ou tu veux tout simplement te promener sur les quais les deux ne me dérrange pas du tout je te rassure.
Au fait miss Dawn tu permettes que je te rapelle comme ça comment va t'on magnifique équilibre car la seule et unique fois où je t'ai vu dans un lieu comme celui ci tu es tombé de tout ton long sur moi c'était assée ben fait c'est du carrément toi.

Je me mis alors à rire comme je le faisais à mon habitude espérant avoir brisé un peu la glace qui c'est forgé entre nous grace à notre rupture mais surtout grace aux longues années qui se sont écoulées après notre dernière rencontre ce qui je crois vient de fonctionner vu sa réaction.

Bien entendu Henri avait accepté avec joie d'aller à la marina et ils étaient embarqué dans sa voiture. Puis, il mit de la musique. Elisabeth avait trouvée cela gentil, car elle ne s'avait pas trop quoi dire et elle avait tendance à ne pas trop parler quand elle écoutait de la musique, chose qu'Henri savait très bien. Elle se dit donc qu'il n'allait pas trop mal prendre son silence, car s'était dans ses habitudes. Par contre, le pourquoi qu'elle ne parlait pas en cette après-midi était loin d'être parce qu'elle écoutait une chanson. Elle était avec Henri et c'était la première qu'elle le revoyait après tant d'année et malgré elle, elle était un peu malalaise. Même si elle essayait d'agir le plus normalement possible. Puis, ils arrivèrent finalement à la marina. Elle se rappela à se moment même qu'elle avait été un peu stupide de demander d'aller à la marina, car s'était dans un endroit plutôt semblable qu'elle avait rencontré Henri pour la première fois. Mais bon, peut-être ne s'en souvenait-il pas.

C'était vraiment étrange de se rendre compte qu'elle avait déjà entendu parler de Jake et de Kathleen beaucoup avant d'avoir rencontré Jake. Elle l'avait même déjà vu en photo avant. C'était des plus étranges de constaté à quel point la vie pouvait vous réserver de drôle de surprises alors que vous ne vous y attendiez pas du tout.

Ah tu sais pour Kathleen ca vas. elle lui souria. Je commence à être habituer, mais en même temps c'est normal. Je débarque au moment ou elle part, tout le monde qui la connaissait semblent être très touché par son départ, alors si la chose la plus compréhensible qu'ils en parlent.

Elisabeth pensait vraiment se qu'elle disait. Lorsque les gens qu'elles connaissaient lui parlait de Kathleen, elle était seulement intéresser de voir comment ils pensaient et comment ils réagissaient face au départ précipité de leur amie. Elle ne connaissait pas le moins du monde cette fameuse Kathleen, mais elle avait l'impréssion que si jamais elle la rencontrerait, elle en saurait beaucoup sur elle. Henri se rappelait bien de la première fois qu'il s'était vu finalement. Ils étaient dans un port et elle lui avait complètement tombée dessu. Une autre petite catastrophe pour notre jeune chanteuse qui avait changé le reste de sa vie.

Mon équilibre est parfait, dit-elle en riant, faisant semblant d'être offensé. On pourrait seulement se promener sur le quai si tu veux bien. le simple fait de s'imaginer seul sur un bâteau en plein milieu de null part avec Henri la rendait anxieuse, elle préférait donc rester sur la terre ferme. Tu peux m'appeller comme tu veux, tu le sais bien. lui dit-elle avant de lui sourire à nouveau.

Elisabeth ria, car elle venait de se rappeler un bon souvenir d'elle avec Henri. C'était à leur vrai premier rendez-vous officielle, ils étaient allés se promener dans un parc durant l'hivers et lorsqu'Henri avait voulu l'embrasser pour la première fois, les deux avaient complètement perdu l'équilibre à cause de la glace qu'il y avait un peu partout. Henri s'était retrouvé couché sur le dos et Eli par dessu lui. Ils n'avaient pas arrivée à arrêter de rire durant au moins cinq minutes. Elle tourna sa tête dans sa direction. Se rendant compte qu'elle pouvait paraitre ridicule en train de rire toute seul, elle décida de lui faire part de ses pensées.

Désolée c'est seulement que ton truc d'équilibre ma fait penser à notre premier rendez-vous dans le parc. Je crois que c'est plutôt toi qui devrait faire attention à ne pas foncer dans quelqu'un aujourd'hui. rajouta-t-elle en riant,

Elle s'était habituée à ce que l'on parle de Kathleen en permanance il le fallait cependant puisqu'elle passait beaucoup de temps avec Jake et que la plupart de nos amis connaissent Kath et je crois que je fais parti de ceux qui la connaisse quasiment par coeur. Je continuais alorsà avancer car elle ne souhaitait pas que l'on loue un bateau c'est marrant mais au fond je sentais qu'elle était mal à l'aise de tout cela de la promenade que je sois le colocataire et le meilleur ami de Dashwood mais je ne voulais rien lui dire de peur de la blesser déjà que je lui avais brisé le coeur il y a quelques années.

C'est vrai mais fais quand même attention que certain n'en profite pas pour te juger trop rapidement car tout le monde juge et parle ici ce qui serait dommage pour toi puisque tu es quand même une fille super cool.

J'avais vraiment le don d'être vraiment bête sans oublier que j'aimais me méler des affaires des gens alors qu'il ne me le demande même pas.
A l'annonce de ce que je venais de dire elle se détendit un peu encore mieux je l'avais fait rire rien de mieux pour briser la glace ne trouvez vous pas? Elle se calma et joua l'offencée ce qui me faisait sourrire car elle n'était pas une bonne comédienne ensuite elle se mit à rire toute seule ce qui m'étonné car elle n'était pas vraiment le genre de fille à rire sans raison valable. Puis c'est elle qui à son tour me fit rire en m'expliquant la raison de son fou rire. Le premier rendez vous c'est vrai qu'il faisait parti des innoubliables comment oublier un rendez vous aussi drôle? Le plus drôle dans tout cela c'est qu'on est tombé malade juste après le rencart ce qui nous avait fait encore plus rire.

Mais déjà moi c'était pas vraiment ma faute il y avait de la glace puis je ne tombe jamais sauf si quelque chose m'obligent. Ce qui était encore plus drôle c'est qu'on était tombé malade en même temps résultat c'est l'un des meilleurs rencarts que je n'ai jamais eut car jamais au grand jamais je m'étais autant marré avec une fille.

C'est vrai qu'avec elle tout est simple il n'y avait jamais aucune complexité on se ressemblait énormément on avait la même passion pour le chant on passait même des heures à chanter sans s'arréter. Je n'ai jamais retrouvé la passion que j'avais en chantant avec elle avec d'autre partenaire de chant même si ils étaient aussi doué que Summer. J'étais tellement dans mes pensées que je trébuchais sur je ne sais trop quoi par terre. Je ne savais pas vraiment comment mais je venais de me retrouver sur le ventre en trois secondes ce qui me faisait bien dire. Je me relevais alors sans trop d'effort et je regardais alors Elisabeth.

Bon cet accident est quelque chose d'unique c'est parce que je pensais autre chose.........

Elisabeth se remémora le premier rendez-vous qu'elle avait eu avec Henri et elle du admettre que cela avait été le plus beaux qu'elle avait pu avoir. Tout avait été simple, sans trop essayer de charmer l'autre. Ils avaient eu plein de fou rire et ils s'étaiment vraiment amusée. En plus, le lendemain, les deux avaient été vraiment malade, se qui n'avaient fait que les amusés d'avantage. C'était comme cela qu'elle en était tomber amoureuse, car Henri était simple et la faisait rire. Il n'avait jamais de tention et ils s'entendaient à merveille. En plus, il avait la même passion qu'elle pour le chant, alors les deux jeunes pouvaient passer des heures à chanter ensemble et à s'amuser, car leur voix s'unissaient parfaitement. Elisabeth souria lorsqu'elle l'entendit dire que pour lui aussi cela avait été l'un de ses meilleurs rencart. Elle aimait savoir se qu'elle n'avait pas su il y a de cela quelque années. Même si elle suposait qu'il avait apprécié, car ils étaient tout de même devenu un couple peu de temps après.

J'avoue que tu n'as pas tendance à tomber pour rien, dit-elle en riant, ca je le garde plutôt pour moi, on ne peut pas tous avoir cette merveilleuse qualitée. dit-elle sarcastiquement.

Elle venait tout juste de lui dire cela, lorsqu'elle se retourna et vit Henri couché à plat ventre au sol. C'était du Henri tout cracher. Elle ne pu se retenir et pouffa de rire. C'était beaucoup trop drôle, ils parlaient de toutes les fois qu'ils avaient trébuchés et Henri s'était vanter qu'il ne tombait jamais pour rien. Et voilà, qu'il trébuchait comme cela, car il n'avait pas vu une malheureuse petite roche. Elisabeth n'arrivait plus à arrêter de rire. Elle ne riait pas d'Henri et elle savait qu'il ne le prendrait pas mal, seulement la situation était beaucoup trop drôle.

Oh mon dieu! hahaha, est-ce que ca vas dit? hahaha

Elle le vit se relever rapidement et s'expliquer. C'était fou à quel point il n'avait pas changer, il la faisait tellement rire, sans même le vouloir. Elisabeth ne pu s'empêcher de croire que son penser à autre chose était seulement une excuse bidon pour ne pas avoir l'air trop ridicule. Elle cessa progressivement de rire pour ensuite reprendre son sérieux. En faite, elle avait toujours un immense sourire aux lèvres, mais au moins elle avait cesser de rire.

Ca va, je te crois. lui dit-elle en dépoussièrant un peu son épaule, question de le niaiser un petit peu. Puis, pour lui prouver qu'elle le croyait vraiment elle lui demanda. Tu pensais à quoi pour réussir à trébucher aussi élégament? demanda-t-elle en essayant de retenir un petit rire.

Henri lui avait tellement manquer, qu'à se moment même, elle se trouva stupide d'avoir autant redouter la journée qu'elle le reverrait. Il était vrai qu'elle avait surtout penser aux points négatifs qu'aux point positifs que cela amènerait. Pourtant, elle sentait que lorsqu'ils allaient abordé la question de la rupture les choses seraient surment un petit peu moins comique. Pour le moment, elle se dit seulement qu'ils auraient surment encore été longtemps heureux si Henri n'avait pas déserté après avoir rompu..

C'est vrai que sa maladresse faisait parti de son charme et son élégance. Elle était peut être tombée une centaine de fois toujours différament mais c'était le charme d'Elisabeth complétant sa simplicité et son sens de l'humour. Un sens de l'humour qui quand elle savait le manier pouvait faire rire n'importe qui pendant de longues minutes même le plus grincheux d'entre nous. C'était comme ça que je l'appréciais et que tout le monde l'aimait c'est même ça qui m'avait fait tomber amoureux d'elle avec sa beauté et sa simplicité bien entendu! Eli avait quand même avoué que je ne tombais jamais pour rien ce qui voulait dire que la demoiselle avouait qu'il y avait toujours quelque chose qui faisait en sorte que je tombe. C'est vrai qu'elle me connaissait pour ainsi dire très bien même mieux que toutes mes autres petites amies peut être parce que je lui faisais énormément confiance chose qu'après que j'ai rompu a totalement disparu avec les autres prétendantes.

C'est vrai que tu très drôle quand tu tombes on peut dire que cela fait parti de ton sens de l'humour qui est vraiment tordant car chaque chute est unique en son genre si tu me crois pas j'ai une liste de tes chutes aussi longue que mon bras et écrit très petit.

J'étais certain que quand j'allais trébucher c'était le cas ici présent elle se moquera de moi tout en rappelant ce que je venais de dire et oui c'est cela que jouer son malin comme je l'ai fait. Cela a toujours été comme ça entre nous et notre future amitié que j'espérais du plus profond de mon coeur raviverais ce côté enfantin que je partageais avec Jake. Je comprends mieux pourquoi ils se sont si bien rapproché ils formeraient même un joli couple si ils étaient ensemble mais bon ce ne sont pas mes affaires.

Oui c'est vrai je l'ai bien mérité je ne suis qu'un mec maladroit mais aussi frimeur et stupide en gros je n'ai pas vraiment changé puis je ne pense pas que je changerais enfin si dans 30 ou 40 ans je serais tout vieux et ridé mais toujours un gamin dans sa tête.

Puis elle me demanda pourquoi j'avais trébuché si élégament et là j'hésitais un peu à lui répondre c'est vrai que cela risquait de gacher la rigolade qui c'était tout juste installé mais bon puisque je suis un imbécile de première immaginez ce que je vais faire.

Ben en fait je repensais à lorsque l'on chanté tout les deux et je me disais aussi que tu as été la meilleure partenaire de chant peut être parce que tu me connais très bien et mieux que personne. Puis aussi du jours où on s'est planqué dans le placard à balais parce que l'on avait pas le droit de chanter dans la salle de chant à cette heure là mais j'en avais fait qu'a ma tête ça me fait toujours rire de repenser à cela et de ce qui est venu ensuite quand on a chercher à savoir le pourquoi des choses mais je ne pense pas que tu t'en...........

Elisabeth était vraiment consciente qu'elle avait des tendances à tomber au sol sans le vouloir, pourtant cela la fit rire lorsqu'Henri lui fit remarquer qu'elle ne tombait que très rarement de la même facon. Le pire était qu'il avait complètement raison. Eli avait du tenter toute les sortes de chutes possibles sur la terre. Chaque fois, elle avait fait rire quelqu'un, car se n'était que très rarement des grosses chutes qui la blessaient et qui inquietaient les gens. Se genre de chute avait du arrivée un ou deux fois maximum. Elle était plutôt chanceuse. Elle souria se voyant enchainer toute les chutes qu'elle avait pu faire lorsqu'elle avait été en présence d'Henri. Les faire ainsi les unes après les autres sans arrêt dans sa tête était plutôt très très comique. On aurait dit qu'on était en train de lui passer des bloopers en rafale dans le cerveau.

Un mec maladroit, frimeur et stupide. Elisabeth retint un sourire, car elle savait très bien qu'Henri n'était frimeur qu'en blague et qu'il était très loin d'être stupide, mais bon, s'il avait envie de se décrire ainsi. Par exemple, elle fut complètement d'accord avec le fait qu'il était et resterait toujours un gamin dans sa tête. Un peu, en faite, beaucoup comme elle, car Eli n'aimait pas être toujours sérieuse et c'était un truc que ses parents avaient beaucoup de difficulté à saisir. Mais pas Henri et c'était une qualité qu'elle recherchait toujours chez un garcon qu'elle pouvait qualifier de très intéressant.

Je suis complètement d'accord avec toi et le pire c'est que je suis exactement pareille comme toi. Vive les enfanteries. dit-elle en riant.

Elle fut un peu surprise lorsqu'il lui parla du chant, mais en même temps c'était normal, car lorsqu'ils étaient ensemble, ils avaient passé la moitié de leur temps à chanter. Ils formaient vraiment un exellent duo, car les deux avaient une joli voix unique qui se mélangeaient parfaitement bien à l'autre. Le placart à balais. Cela fit sourire notre jeune chanteuse. Bien entendu qu'elle s'en rapellait. Henri et Eli avait tellement eu envie de faire à leur tête et de chanter qu'ils n'avaient pas porter attention qu'ils n'avaient pas le droit à cette heure-là. Pourtant quelqu'un était arrivé et ils avaient du se cacher dans le placart à balais de la salle de musique. Ils n'avaient pas pu arrêter de rire et leur rires avaient encore enpiré lorsque la personne était sorti du local et qu'ils s'étaient rendu compte que le placart était vérouillé de l'intérieur. Étrangement, ils n'avaient pas paniqué du tout, ils n'avaient fait que trouvé cela drôle.

Ils avaient passé environs une heure dans se placart avant que le professeur de musique ne les trouve et bien entendu, ils avaient passé le temps, comme ils le pouvaient... Le visage horrifié du professeur la faisait toujours rire. Ils s'étaient sorti un après l'autre et avaient fait comme si de rien n'était, le pire était qu'ils n'avaient presque pas eu d'ennui.

Le placart à balais, dit-elle en souriant. bien entendu que je m'en souviens, ca été quand même un moment marquant. dit-elle en riant. Est-ce que tu imagines que si le professeur serait parti sans prendre son paraplui dans le placart, on aurait pu passer la nuit la dedans.

Pourtant, se n'était peut-être pas la meilleur idée de se rappeler se souvenir là, à se moment même et Eli le sentait très bien.

C'est vrai qu'Elisabeth et moi étions de réels enfants même plus nous étions pareils c'est peut être pour cela que l'on a très vite bien su comment était l'autre même si nous avions de points de divergeances mais nous préferions les ignorer. On été de vrais enfants qui aimmait surtout le rester parce que la vie est vachement courte alors il fallait en profiter à fond comme dit si bien Jake. Tout y pasait pour me faire rire des blagues enfantines, aux sorties entre potes qui virait souvent en karaoké (merci Summer et Kath) aux matchs de foot à la télévision avec Jake et Bray et bien sur aux fêtes bien arrosées où je me rendais assée souvent avec les potes. Pour être un enfant dans sa tête il faut aussi avoir des potes qui te donnent l'occasion de le rester et des parents qui ne sont pas trop exigeants et j'ai les deux c'est que j'en ai de la chance.
Revenons à nos moutons enfin à notre promenade plein de souvenirs remontaient à la surface mais je ne pense pas qu'elle se souvienne de tout sinon ce serait étonnant surtout vu comment j'ai rompu avec elle. Le souvenir du placard à balais l'une des histoires les plus drôles et étonnantes que j'ai vécu de ma vie. La tête du prof quand il nous a trouvé dans le placard me donnait toujours envie d'éclater de rire surtout la sanction que nous avions reçu était vraiment trop légère vu les avertissements que nous avions reçu.

La tête du prof était vraiment tordante je me souviens même pas comment j'ai pu faire pour ne pas exploser de rire devant lui je crois qu'il aurait été encore plus marrant si il serait énervé. On avait eut quoi déjà 4 heures de colles à nettoyer la salle de chant ce qui était encore plus tordant puisque l'on répétait quand même.

Je continuais à marcher silencieusement en pensant à mes parents ce qu'elle ne savait pas dans l'histoire c'est qu'il avait appellé mes parents pour leurs dire que malgré ma punission Eli et moi avions un talent fou pour le chant et qu'il fallait à tout prix qu'ils m'inscrive pour prendre des cours de chant ce qu'ils ont fait puisque je suis ici à Los Angeles dans la meilleure école de chant du pays. C'est fou ce que le temps avait passé après cette histoire on avait grandit physiquement mais mentalement je me rendait compte que nous étions les mêmes toujours aussi enfantins en fond et qui sommes tellement têtus que jamais nous ne changerions sauf si nou sétions vraiment obligés.

C'est fou ce que l'eau a coulé sous les ponts depuis cette époque je me demande comment je peux me souvenirs de moments aussi drôles que ceux ci peut être parce que je regrette certaines choses. Sinon je sais que cela ne me regarde pas mais Jake et toi êtes vraiment ensemble? Il ne m'a rien dit mais je crois que j'ai deviné et cela espliquerait la gène que tu as ressentis quand tu étais à l'appartement je me trompe?

Elisabeth s'imaginait la tête du professeur encore et encore et toute les fois c'était plus drôle que la première. C'était un grand chauve et des lunettes trop petite pour lui, déjà ainsi, il faisait rire, mais lorsqu'il avait un regard horrifié, mélangé avec de la colère et de la surprise, il était littéralement hylarant. Leur pénition avait belle et bien été presque qu'une bénédiction, ils avaient eu à eux seul le local de musique pendant quatres heures. Quatres heures à chanter et à rigoler comme une folle avec Henri, cela avait été complètement la joie. Exepté que ses parents l'avaient gronder et qu'ils avaient commencer à voir d'un mauvais oeil son talent pour le chant lorsque son professeur de musique leur avait téléphoner pour leur faire part de son talents. Eli ne voulait pas penser à cela pour le moment, mais elle sentait déjà les mauvais souvenirs qui voulaient refaire surface en même temps que les bons.

Elle se rappela lorsqu'Henri lui avait dit qu'ils rompaient. Le visage triste et colérique qu'il avait eu à se moment là. Lorsqu'elle était arrivé les yeux bouffi chez elle et que sa mère avait tout de suite deviner et qu'elle lui avait simplement dit que c'était normal. Les jours entier passer dans le noirs complètement atteri, puis les mois qui suivèrent guère beaucoup plus joyeux. Le fait qu'Henri ait complètement déserté la place et qu'il ne répondait plus à ses coups de téléphone. Il avait simplement disparu sans lui expliquer le pourquoi des choses. Pourtant, Eli en avait guéri et elle allait beaucoup mieux, elle l'avait oublier. Elle avait appris avec cette histoire que le temps avait toujours raison des maux du coeur, même ceux inexpliqué. Dès qu'elle entendu le nom de Jake, elle eu un petit sourire. Ils n'étaient toujours pas officiellement en couple. Eli tenait toujours bien son bout voulant que tout reste simple, même si Jake ne cessait de lui en demander plus sans même s'en rende compte.

Pourtant, Eli n'avait pas envie de parler de Jake avec Henri à se moment même. Non qu'elle en était gêner, c'était seulement qu'elle croyait que c'était à Jake de lui en parler et non le contraire. Elle prit donc tout son courage et lui posa la question qui la démangeait maintenant depuis environs trois ans. Elle se retourna et se mit face à lui, l'empêchant d'avancer du même coup.

Henri, on sait très bien tout les deux qu'on est pas ici pour parler de Jake et moi. elle ne lui dit pas cela d'un ton colèrique, en faite, elle était très calme, peut-être même un peu trop. Je veux savoir, j'ai besoin de savoir, pourquoi?

Elisabeth n'avait pas clairement dit se qu'elle avaient envie de savoir, car il y avait beaucoup trop de chose pour une seul question. Elle voulait savoir pourquoi il avait rompu sans raison, pourquoi il avait ensuite disparu de sa vie, pourquoi il ne lui avait pas donner d'explication.. En faite, elle voulait savoir pourquoi tout s'était enchainé ainsi lorsqu'elle croyait à se moment dans sa vie que tout allait pour le mieux..

Malheureusement tous les bons moments ont une fin mais je ne l'immaginais pas aussi brutale. J'étais fou d'elle je peux le promettre mais David m'a montré quelque chose même si je ne le croyais à moitier cette fois ci tout était flagrant. Tout se brisa en un moment mon coeur et notre histoire, j'avais vraiment envie de tout casser et c'est ce que j'avais fait j'ai même arraché la preuve ensuite j'ai rompu en étant le plus froid et méchant possible alors que je souffrais comme un fou. Une semaine sans sortir de ma chambre et quand je retournais à San Francisco la seule qui réussissait à entrer dans ma chambre pour me consoler et bien c'était Eileen. Elle avait trouvé les mots pour me faire redevenir le Henri d'avant même si tout est différant maintenant c'est pour cela que je me méfiais quand même des femmes surtout en amour c'était déjà suffisant d'être brisé une fois.

Le ton de sa voix me ramena alors sur terre. Elle ne voulait pas parler de Jake elle voulait tout savoir le pourquoi du comment comme on dit. Eli voulait savoir pourquoi je l'avais larguée du jour au lendemain sans aucune explication et que c'était même la raison qui m'avait ammené. Je n'étais pas impulsif au contraire j'avais du self control à en revendre mais là s'en était trop les nerfs commençaient à me lacher et j'allais bientôt regretter mes paroles je le sentais.

Alors tu crois vraiment que je t'ai demandé de venir ici pour t'expliquer pourquoi alors que tu sais tout je voulais juste tenter de redevinir amis avec toi mais on dirait que tu ne veux pas. Je vais te parler franchement Elisabeth Dawn tu veux savoir pourquoi j'ai rompu alors je vais te rafraichir la mémoire. Cette photo de toi embrassant cet autre type que Jagger m'a montré c'est ça la raison. Tu m'as brisé le coeur ce jour là et tu crois que je serais resté avec toi après ce que David m'a raconté. Il vaut mieux que je te rammène à l'Académie.....

Je faisais marche arrière en commençant à me déplacer vers le parking je te jure jouer l'ignorante pour me rappeler de tel souvenirs. David était certes un dragueur de première mais pas un menteur ou un manipulateur avec ses amis et surtout pas avec moi. Il me l'avait bien dit qu'il ne s'intéressait pas à Eli et c'était vrai car ce n'était pas son genre de fille mais bon. Je me retournai alors pour entendre la voix d'Eli entrecoupé de larmes qui me brisait à nouveau le coeur et je commençais à comprendre le véritable pourquoi du comment......

Elisabeth savait très bien qu'elle n'aurait pu redevenir ami avec Henri sans avoir éclairci toute cette histoire, c'était pourquoi elle avait brutalement amener le sujet sur le tapis, elle avait besoin de savoir la vérité. Pourtant, elle s'était attendu à tout sauf à cela, Henri s'était mis en colère. Comment pouvait-il insinuer qu'elle ne voulait pas redevenir ami avec lui, c'était complètement stupide, ils venaient de se remémorer tellement de bons souvenirs qu'il aurait fallu quelqu'un de totalement idiot pour ne pas vouloir être ami de nouveau avec Henri. Une photo d'elle embrassant un autre type, mais c'était quoi cette histoire. David Jagger? Dans sa mémoire, Henri n'appréciait pas vraiment se garcon, alors pourquoi lui faire confiance aussi ouvertement. Eli cherchait dans tout les recoins de sa tête, d'il y a de cela environs trois ans, mais elle n'arrivait pas à trouver un garcon qu'elle aurait embrassé. Dans ses années là, le seul homme qu'elle avait dans la tête c'était Henri, elle en était folle amoureuse, alors c'était impossible.

Puis, elle essaya de se remémorer la journée qu'Henri avait rompu. Elle s'était levé tôt toute heureuse, car elle allait revoir son cousine cinq ans plus jeune qu'elle qui était en vacance à Paris. Ils avaient passé la journée ensemble et lorsqu'il avait finalement du s'en aller, ils s'étaient donner un petit bec comme ils le faisaient lorsque Kevin avait quatre ou cinq ans. Est-ce que c'était se dont Henri voulait parler? C'en était presque impossible, jamais un garcon sensé pouvait être jaloux de se genre de bec, c'était un petit bisou qu'une mère pouvait donné à son fils alors qu'il s'était fait mal en tombant de vélo, aucun lien avec le fait d'embrasser quelqu'un ou de seulement lui donner un baiser. En plus c'était son petit cousin préfèrer et il était cinq ans plus jeune même s'il était plus grand qu'elle. Puis, Eli lui revint en mémoir que les photographies pouvaient être très mal intrerprétés. Ce qu'elle en voulait à Henri à se moment même d'avoir pu croire une chose aussi stupide qu'elle embrassant un autre garcon.

Tu es complètement idiot ou quoi. Tu aurais du venir m'en parler au lieu de te fier à une stupide photo Henri Portman. Et tu aurais su que le garcon que j'ai supposément embrasser c'était mon cousin, Kevin, tu te rappelles de lui, un petit blond tout mignon cinq ans plus jeune que moi. Je lui avait donné un petit bisou comme à chaque année lorsqu'il retournait chez lui après les vacances. C'était un bec d'aurevoir qu'habituellement on donne sur les joues aux tantes. Eli pleurait de rage.

Elle était fâcher de voir que dans ses années-là, Henri ne lui faisait pas confiance encore, fâcher de voir que leur couple s'était brisé aussi facilement à cause d'une stupide photo d'elle en train de faire la bise à son cousin alors qu'il repartait pour L.A.

Quel idiot j'aurais du y penser son cousin c'est vrai que le jeune semblait blon mais Jagger avait pris cette photo sous un mauvais angle alors je me suis emporté c'est vrai que maintenant j'ai l'air minable. Jamais de ma vie je n'avais osé faire pleurer une fille volontairement j'avais été trop bien élevé mais là faire deux fois pleurer la même fille qui était une personne extraordinaire me brisait le coeur. Je ne lui en avait pas parlé certes mais vous à ma place vous ne chercherez pas à en savoir plus puis son cousin il n'avait pas l'air si petit puis cela avec la réaction de colère et de peine tout s'était brouillé en moi je n'avais pas réfléchit et dire que tout cela a gaché une si belle histoire je m'en voulais surtout d'avoir fait confiance à David même si c'était l'un de mes meilleurs pote comme quoi il ne faut faire confiance à personne.

Comment voulais-tu que je réagisse hein dis moi puisque tu sais mieux que tout le monde!?! Je t'aimais comme personne mais immagines que nos places auraient été inversés tu aurais réagis comme moi sans réfléchir et si tu oses me dire le contraire c'est que tu mens.

Je me mettais à me calmer maintenant je me rendais compte qu'elle avait raison et que je m'emportais pour rien. Je me rapprochgais d'elle et je lui tendis un mouchoir pour qu'elle séche toutes ses larmes qui gachaient son si joli visage.

Pardonnes moi je suis un minable je comprendrais même que tu ne veuilles plus me parler. J'aurais dût de voir et te parler au lieu de ça j'ai tout gaché entre nous maintenant je gache même la lueur d'amitié qui commence à apparaître. Je m'excuse pour tout le mal que je t'ai causée que ce soit avec notre rupture et maintenant je ne suis qu'un abruti. Tu veux rester encore un peu même si je comprendrais que tu veuilles rentrer chez toi.

Elisabeth avait arrêté de pleurer. Elle s'était promis que si un jour elle aurait la chance de lui reparler après quelque temps de recule, elle ne s'emporterait pas. Pourtant, cela était beaucoup plus facile lorsqu'elle imaginait le scénario dans sa tête plutôt qu'en vrai. Elle fit secoué de nouveau par la colère lorsqu'il lui dit qu'elle savait supposément mieux que tout le monde. C'était totalement faux, elle ne savait pas comment elle aurait réagi. Surment aussi mal qu'Henri. Elle était très jeune et beaucoup trop amoureuse dans se temps-là qu'elle aurait surment réagis aussi stupidement. Pourtant, elle avait de la difficulté à vraiment croire que leur couple s'était brisé aussi facilement. Elle se croyait tellement forte à cette époque qu'elle se rendit compte qu'elle n'était qu'une petite fille, très très faible. Elisabeth ne prit même pas la peine de répondre à sa question qui n'en était pas vraiment une de toute facon et essuya rapidement son visage avec l'envers de sa main.

Lorsqu'Henri lui tendit un mouchoir, elle le prit, mais surtout par politesse. Car elle ne l'utilisa pas. Elle trouvait que les mouchoirs étaient traitres. Ils essuyaient vos larmes, mais une fois qu'elle avait le visage tout bien sec, elle se remettait instatanément à pleurer, se disait qu'elle avait encore le mouchoir pour s'essuyer les yeux. Elle ne préférait donc pas l'utilisé. Puis, Henri commenca à s'excuser et à se rabaisser sous les insultes. Il avait tout faux. Elisabeth n'avait pas envit de ne plus lui parler. Elle ne voulait pas s'éternisé sur le passé. Les deux avaient évolué et elle le savait.

Arrête de te rabaissé Henri. C'est vrai que tu as été le pire des nul, si tu veux savoir mon opignon.. Tu ne peux même pas imaginer comment sa ma fait mal de savoir que tu étais parti sans en savoir la raison.. Mais il n'y a que moi qui peut dire sa, toi tu n'as pas le droit de te faire mal toi même. elle esseya de lui sourire le plus sincèrement possible. Maintenant que tout est clair et qu'on sait tout les deux que l'autre est idiot, on oubli tout. Cela fait trois ans, on a changé tout les deux et je n'ai pas envie de m'engeuler pour des histoires mortes depuis très longtemps.

Elle resta planté la un instant avant de tendre le mouchoir inutilisé d'Henri dans sa direction.

J'évite les mouchoirs. dit-elle en riant légèrement, même si elle savait qu'Henri ne comprendrait surment pas pourquoi.

Elle pensait que je me rabaissé mais ce n'était pas vrai je disais juste ce que je pense j'avais brisé son coeur et notre histoire sans aucune raison valable pourtant elle pensais que j'avais tord mais de quoi. C'est vrai que j'avais l'habitude de me rabaisser je n'ai jamais eu confiance en moi depuis la plus tendre enfance ce qui était un gros défaut même le plus gros chez moi. Mais comme elle venait de dire le passé c'est le passé puis trois longues années se sont écoulées depuis nous permettant ainsi de prendre des distances et de devenir ainsi amis. Je retrouvais alors le sourrire mais cette fois ci le vrai et le sincère que je faisais à tous mes amis.

Tu as bien raison le passé c'est le passé alors tentons de regarder vers l'avenir et de devenir de bons amis surtout qu'on est presque....pareil.

J'ai eut un moment d'hésitation avant de prononcer ce mot mais c'est vrai enfin je le crois qu'il nous décrivait assez bien pour ne pas dire parfaitement. Parfaitement on avait le même sens de l'humour, les mêmes gouts surtout en musique et notre passion commune le chant. Elisabeth me rendit ensuite le mouchoir que je lui avais donné disant qu'elle évitait ce dernier avec un petit rire. Les choses redevenaient comme tout à l'heure et cet incident semblait dorénavant clos. Une nouvelle conversation compmençait et cette fois ci il n'y aura aucune embrouille. Je repris donc le mouchoir qu'Elisabeth me tendit avec un sourrire.

Ah bon c'est vrai que j'évtie aussi les mouchoirs sauf quand je suis malade donc en cas de grosse nécéssité. Alors que veux tu faire maintenant Mademoiselle Dawn?

Je la regardais avec le regard assez amusée voulant faire des conneries comme si je venais de retourner dans ma pure et tendre enfance avec ma chère brunette qui j'étais certain allait m'accompagner. Toujours prêt à faire de nouvelles conneries comme toujours mais à en faire rire tout le monde et même si il y avait toujours des conséquences. Sa réponse ne prit pas de temps à venir car il me semblait qu'après toutes ses émotions elle aussi souhaiter s'amuser comme si on était en enfance.

En faite, Elisabeth n'avait pas vraiment envie de s'éterniser sur le sujet. Maintenant, elle savait pourquoi Henri avait rompu. Elle ne pu que trouver toute les raisons qu'elle s'était imaginé complètement stupides. La raison était tellement simple et évidente que c'était idiot qu'elle n'y ait pas pensé avant. Eli n'avait jamais vraiment apprécié cet ami d'Henri et elle sentait qu'elle ne pourrait jamais vraiment l'apprécier, même s'il était pratiquement impossible qu'elle le revoit un jour. C'était quand même de sa faute, si elle et Henri n'était plus en couple. Pourtant, elle se dit qu'il serait surment arrivé quelque chose un autre jour et que leur relation aurait également prit fin. Peut-être moins brutalement, mais tout de même. Elle avait oublier cette histoire depuis un moment déjà et elle ne voulait pas plus ranimée de vieux et mauvais souvenir de moment noir dans sa vie. Elle avait donc voulu changer de sujet et avait été heureuse de voir qu'Henri était d'accord avec elle.

Elle souria lorsqu'il lui dit qu'ils étaient presque pareille. C'est vrai qu'il avait énormement de points communs. Le premier était qu'ils adoraient tout les deux le chant et qu'ils étaient très très doué, le deuxière était que lorsqu'ils étaient ensemble, ils ne faisaient que rigoler comme deux petits gamins. Parfois, elle ne pouvait s'empêcher de trouver ridicule à quel point ils se ressemblaient.

Complètement d'accord avec toi, parfois sa me fait peur. dit-elle en riant.

Elle lui tendit le mouchoir et il lui reprit. Elle souria lorsqu'il lui dit que lui aussi les évitait et qu'il ne les utilisait qu'en cas de grandes nécessité. Elle aussi dans le fond, c'était surtout pour les larmes qu'elle les évitait plus que d'autre chose. Puis, il lui demanda se qu'elle avait envie de faire. Elisabeth regarda autour d'elle et chercha un truc qu'elle pourrait bien faire avec Henri. La marina semblait si calme que cela aurait été presque impoli de faire beaucoup de bruits et de déranger les vieux qui donnaient à manger aux oiseaux. Elle souria à l'idée qu'un jour elle pourrait faire un truc aussi ennuyant. Puis, elle vit un stade à crème glacé pas très loin. Pourquoi pas..

Crème glacé, ca te tente? lui demanda-t-elle avec un sourire lui indiquant du menton le petit stade qu'elle venait tout juste d'appercevoir. Faut se dépêcher, il ferme ses trucs! dit-elle en riant.

Comme ça en plus de se ressembler comme les mêmes pièces d'un puzzle elle était du même avis que moi. Un sourrire s'affichait de nouveau sur mes lèvres ce qui me faisait une joie intense à l'intérieur. Je n'ai jamais été rencunié avec les gens sauf si il y avait eu une trahison alors là j'étais le plus rencunié de tous les hommes au contraire j'ai toujours été un garçon joyeux sourriant tout cela grace à l'éducation de mes parents qui ont toujours étaient géniaux avec moi. Mais bon ce n'était pas un scoop et je dévie un peu du sujet je crois enfin tout cela pour expliquer que j'étais un garçon de très bonne humeur.

La demoiselle décida alors de prendre une glace c'est vrai que la marina semblait vraiment trop calme pour faire une de nos habituelle bêtises mais bon rien est impossible et on en était la preuve vivante. Je me dirigeais avec elle vers le stand de glace pour lui offrir les glaces je n'allais surement pas la laisser payer déjà qu'elle faisait énormément d'effort avec moi enfin pour me supporter et recommencer tout à zéro en effaçant le passé.

Avec plaisir on va s'acheter deux glaces et on va trouver des choses intéressantes à faire parce que je trouve ce silence beaucoup trop inquiétant à croire que quelqu'un va débarquer et nous tuer tout les deux. Tu veux quoi comme gout pour ta glace?

Je recommencer à nouveau à marcher vers ce stand qui allait bientôt se fermer surtout vu le temps qu'il faisait.
Ce qui était le plus drôle c'est que je trouvais vraiment ce silence inquiétant. Je n'ai jamais aimé ces silences qui faisait de certains endroits surtout depuis que je me suis mis à regarder des films d'horreurs mais je en suis pas un peurreux d'accord. Juste en face du stand de glace je remarquai que j'avais perdu de vue ma camarade je la cherchais du regard quand je remarquais qu'elle était juste derrière moi tentant de me faire peur.

Bien essayé Dawn tu réussiras à me faire peur dans vingt ou cinquante ans.

Elisabeth fut heureuse qu'Henri accepte pour la glace même s'il ne faisait pas des plus beau aujourd'hui. Eli avait toujours eu cette facheuse habitude d'avoir envie de manger de la crème glacer lorsqu'il faisait gris dehors, elle en mangeait même souvent à l'extérieur en plein hivers à Paris. Alors, se n'était pas un petit vent frais de L.A qui allait ralentir ses envie de crème glacé. Bien entendu, Henri voulait payer pour elle. Il avait toujours eu cette facheuse habitude, pourtant Eli avait fni par s'y habituer avec les années et de toute facon, se n'était pas comme ci Henri manquait d'argent. Il était tout aussi riche qu'elle, alors elle se sentait moins mal lorsqu'il insistait pour payer quelque chose. Ils marchèrent rapidement vers le stand. Elisabeth remarqua alors qu'un silence règnait à la marina. Elle décida donc qu'essayer de faire une frousse à Henri s'imposait.

Avant, elle avait l'habitude de toujours essayer de lui faire peur. Pourtant, elle ne réussisait jamais et cela la frustrait. Il avait déjà fait les idiots une nuit dans un cimetière et même cette fois-la lorsqu'elle avait voulu l'effrayer, le seul truc qu'elle avait réussi se fut de se retrouver couverte de boue pour rien. Elle l'avait plutôt fait rire à la place de lui faire peur. Elle marcha donc rapidement en silence à côté de lui, avant de ralentir et de se cacher dérrière lui. Il remarqua alors qu'elle manquait et la vit derrière lui, bon, elle avait encore une fois rater son coup. Elle fit pourtant comme ci de rien n'était.

Mais de quoi tu parles? C'est seulement que je marche moins rapidement que toi. dit-elle en lui souriant innocament. Elle regarda les saveur de crème glacer sur l'affiche et arrêta son choix sur une quelle n'avait jamais goûté. Eli avait toujours voulu goûter à toute les saveurs et elle avait presque terminé. Une à la banane et ananas. elle ne pu retenir une petite grimace lorsqu'elle vit son cornet dans sa main.

Elle attendit gentilment qu'Henri pait comme il le voulait et qu'il prenne la sienne, avant de goûter. Ils marchèrent en mangeant, lorsqu'Eli ne pu retenir une petite grimace tellement elle trouvait que sa goutait mauvais. C'est alors qu'elle remarqua qu'Henri se moquait d'elle. Elle prit une autre bouché et fit un visage vraiment exagérer comme si c'était délicieux.

Eummmmm, vraiment bon. elle lui souria innocament. Tu veux goûter? Elle approcha son cornet de la bouche d'Henri avant même qu'il ne réponde pour qu'il goute et lorsqu'il était pour prendre une bouché, elle lui étampa sa crème glacé dans le visage. oups..dit-elle en riant comme une petite folle. Son rire était la seul chose qui brisait le silence de la marina.

Elle avait toujours eut envie de me faire peur une fois qu'il y avait un lieu ou un silence inquiétant mais cela ne marchait jamais. L'exemple du cimetière était réellement le plus drôle d'entre tous, je ne saivais pas ce qui nous avait pris à tout les deux même si c'était bien une idée que nous avions eut tout les deux. Elle avait tenté de me faire peur alors que nous marchions mais à la place elle trébucha et glissa dans la boue rien que de repenser à ce souvenir ci je me mettais alors à sourrire c'était limite si je n'explosais pas de rire tout seul mais l'idée de se souvenir de son visage couvert de boue était vraiment illarant c'était bien l'une des chutes les plus drôle qu'elle a faites. Pour son excuse elle me faisait croire qu'elle marchait très lentement ce qui était faux car elle marchait très vite que ce soit en talons ou à baskets.

Mais oui c'est ça si toi tu marches plus lentement que moi et bien moi je suis une grosse cantatrice complétement blonde.

Je me mis à nouveau à rire avant qu'elle ne choisisse le goût de sa glace banane et ananas à ce que je constate elle n'avait pas arrété ses expérimentation en matière de crème glacé mais à ce point ça me faisait encore plus rire. Je sortis alors mon portefeuille de mon jean et je payais le vendeur avant de choisir la mienne.

Pour moi ce sera chocolat blanc et canelle.

Contrairement à Elisabeth les goûts de ma glace se complétait et c'était vraiment très délicieux quoique je ne prenais jamais vraiment de risque en matière d'arôme de glace c'était presque toujours la même chose. Je redoublais mon rire quand elle fit sa tête un peu dégoutée en goutant sa glace ce qui était vraiment à mourrir de rire. Elle tendit alors sa glace en me proposant de la gouter j'avais vraiment envie de refuser mais je n'eut même pas le temps de lui répondre que son cornet m'arriva alors sur le visage. Eli se remit à rire comme une petite folle comblant le vide de la marina et moi en train de faire un regard étonné redoubla son rire. Tant pis pour ma glace il fallait bien que je me venge un peu, je m'approchais alors doucement d'Eli et lui colla ma glace dans le nez. Je rigolais à nouveau comme on avait jamais rit depuis un long moment oubliant notre passé et notre stupide rupture avec de quoi s'amuser pour un long moment l'idée des glaces étaient vraiment une superbe idée.

Alors Elisabeth Dawn as tu oublié à quel point c'était mal de jouer avec la nourriture surtout lorsqu'il s'agit de crème glacé qui ont un très très mauvais goût.

Je pris alors un mouchoir afin d'essuyer mon visage et en tendit un autre la demoiselle en lui sourriant. Cette idée de promenade avec Eli semblait devenir de plus en plus une excellente idée

Tiens je crois que tu en auras énormément besoin surtout parce que la ùpotié de ma glace s'est retrouvé sur ton visage. Ah non Eli tu n'as pas intérêt repose ce qu'il reste de ta glace ou sinon........

Et paf ça m'apprendra à me venger surtout que la vengence se mange vraiment très froid.

[Désolé du retard c'est à cause des exams]

Elisabeth venait tout juste d'étamper presque toute sa glace dans le visage d'Henri. Il avait un air complètement surpris sur le visage qui ne fit que la faire rire d'avantage. Il n'avait qu'à ne pas se moquer d'elle se dit-elle intérieurement toujours en riant. Elle riant tellement qu'elle n'arrivait presque plus à le voir, elle ne se rendit donc pas compte qu'il s'était approché d'elle avant de lui étamper à son tour sa glace dans le nez. Eli prit un petit air offenser toujours en riant à plein poumon. Elle en essuya une parti avec sa main cessant de rire alors qu'Henri sortait de nouveau des mouchoirs de ses poches. Elisabeth se demandait bien si Henri avait toujours des mouchoirs sur lui, cela serait plutôt surprenant surtout de la part d'un garçon, mais bon, c'est Henri. Elle prit son mouchoir, mais décida que la bataille ne pouvait se terminer ainsi. Elle refusait qu'Henri ait le dernier mot, comme toujours. Toujours avec de la glace sur les mains et un petit peu dans le visage, elle prit son cornet écrabouillé comme s'il s'agissait d'une redoutable épée et tenta de l'étamper sur le visage d'Henri.

Elle se mit à rire lorsqu'il esquiva la plupart de ses coups. Elle déposa une de ses mains collantes sur son bras pour essayer qu'il bouge moins, laissant une petite trace de crème glacer du même coup. Elle fit alors semblant qu'elle abandonnait levant ses deux bras en signe de soumission. Henri semblait toujours sur ses gardes. Puis dans un mouvements rapides, elle mit sa main derrière la tête de son ancien copain pour la retenir et lui étampa le reste de sa glace dans tout le visage. Elle était littéralement pliée en deux tellement elle riait. Henri était couvert de glace sur les bras et sur le visage, elle n'avait au moins pas sali ses vêtements.

Tu tiens très bien le rôle d'une crème glacé fondu mon cher Henri, dit-elle en riant. Haha. Vient on va te débarbouiller un peu, elle remit sa main à la même place que tout à l'heure sur son bras et elle ria de plus belle lorsqu'elle senti ses doigts qui restaient un peu coller, tu es très collant c'est dégoutant, dit-elle toujours en riant.

Les deux jeunes marchèrent vers un quai sur lequel Elisabeth avait l'habitude depuis un moment d'y aller et d'y tremper ses pieds. Elle y prit place laissant ses pieds sur la surface de l'eau, y mouilla ses mains pour y enlever la crème glacé collante. Le silence de la marina était revenu, pourtant Eli trouvait que le malaise était différent que de toute à l'heure. Elle décida donc de prendre la parole. Elle dit donc la première chose qui lui passait par la tête en se moment même. Elle porta son regard vers l'horizon en frottant un peu son visage avec ses mains mouillées, ne sachant pas trop s'il lui restait de la glace dans le visage.

Tu m'as manqué Henri, dit-elle avec un léger sourire toujours en regardant les vagues.

On pouvait dire qu'elle n'aimait toujours pas perdre vu la façon dont elle s'était vengée. Elle était peut être une petite cascadeuse mais elle était vraiment très rusée si bien qu'elle arrivait toujours à m'avoir. Je riais à nouveau heureusement que je gardais des mouchoirs sur moi cela pouvait être étonnant pour un garçon mais bon depuis une sortie qui finit pas du chocolat partout sur nos vêtements avec les quatre fantastiques j'en gardais précieusement dans mes poches. Avec son bras pour me tenir un peu tranquille elle me tacha un peu ma chemise mais bon ce n'est pas grave j'en avait déjà tellement.

Elle se moquait à nouveau de moi en me disant que je pourrais bien jouer le rôle d'une crème glacée fondue ce qui redoubla mes rires. Je la regardais entre deux éclat de rire.

Franchement tu m'as bien eut sur le coup là et oui je veux bien que tu m'aides à me débarrasser de toute cette crème glacé. Puis la faute à qui si je suis tout dégoutant tu as vu l'état de ma belle chemise tu sais que je vais me venger un de ces jours et je t'aurais peut être pour une fois.

Nous marchâmes alors pour aller nous nettoyer un peu. J'enlevais alors ma chemise déjà bien sale et je restais alors en t-shirt puis je retirais alors mes chaussures et chaussettes pour mettre mes pieds dans l'eau. Je me nettoyais un peu le visage avec mes mouchoirs et de l'eau au bout de quelques minutes j'eus un aspect correcte et presque présentable mais bon j'avoue que l'on avait bien rit.

Je regardais à présent l'horizon qui aurrait pu penser que j'aurais pu devenir amis en si peu de temps. C'est vrai que je préférais cela au fait qu'elle m'en veuille toute ma vie. Elisabeth venait de me dire que je lui avais manquée ce qui me fit sourrire c'est vrai qu'après toutes ces années les rigolades avec elle m'avait vraiment manqué.

Moi aussi tu m'as beaucoup manqué alors tu veux aller où maintenant? C'est qu'on a du temps à rattraper sauf si tu veux déjà retourner à l'Université....

Je la regardais d'un air interrogateur et la journée ne faisait que commencer mais je ne voulais pas qu'elle rentre maintenant c'est qu'il y avait beaucoup d'années à rattraper tout cela à cause de moi. J'attendais impatiament sa réponse, et le fait qu'elle ait envie de rire avec moi comme au bon vieu temps quoi.

Se petit rafraichissement dans l'eau n'était pas du tout un luxe vu l'apparance des deux jeunes complètement souillés de crème glacé. Après quelque minutes, ils réussirent à enlever presque le tout redevenant présentable du même coup. Puis sans trop savoir pourquoi, surment pour briser le silence, Eli dit à Henri qu'elle s'était ennuyé de lui. Bien sur c'était la vérité, mais bon, se n'était peut-être pas le meilleur chose a dire, mais elle fut heureuse qu'il le prenne de la bonne facon. Elle tourna sa tête vers lui et lui souria lorsqu'il lui dit que lui aussi s'était ennuyé d'elle. Puis, il lui demanda se qu'elle voulait faire à present et de son expression interogateur, qu'il avait surment depuis toujours, lui demanda s'il elle avait envie de retourner à l'université. Il était vrai que normalement elle aurait dit qu'elle préférait retourner à l'académie. Elle était tout de même en compagnie d'Henri et était senser être en colère. Pourtant, elle ne ressentait aucune frustration en elle et voulait simplement tournée la page et oublier ses mauvais moments pour se concentrer sur ceux du présent qui s'avéraient plutôt bien en faite.

Elle lui souria de nouveau lorsqu'elle se rendit compte qu'Henri n'avait pas trop l'air de vouloir retourner tout de suite à l'école. Elle était heureuse de voir que lui aussi voulait passer du temps avec elle surment question de rattraper le temps perdu par une stupide histoire. Parce que c'était vrai qu'ils arrivaient toujours à s'amuser lorsqu'ils étaient ensemble.

.. je n'ai pas trop envie de retourner à l'école tout de suite, lui dit-elle en riant, mais je ne sais pas trop qu'est-ce qu'on pourrait faire. Tu as une idée toi? lui demanda-t-elle en haussant légèrement les épaules.

Il y avait bien entendu une tonne de chose à faire. Ils étaient à L.A tout de même, mais ils étaient en plein milieu de l'aprés-midi, alors il fallait qu'il trouve quelque chose de bien à faire. Elle avait quelque idées, mais préfèrait que se soit Henri qui décide. De toute facon, c'était ainsi depuis toujours, Henri proposait des trucs qu'il aimerait faire et Eli choissisait dans ses choix. Ainsi, tout le monde était toujours heureux, Eli se demandait si cette technique fonctionnait toujours pour les deux.